L'intranet a déménagé dans ce nouvel espace.
Cela s'est fait de façon un peu subite, de façon telle qu'on n'a pas encore eu le temps, de ce côté-ci, de peindre tous les murs et ranger tout le bazar.
Soyez donc un peu compréhensif·ve·s cette fin d'été 2021 et son début d'automne si tout n'est pas encore parfaitement d'équerre.
La pandémie de covid 19 a rappelé que le bien-être de chacun·e est à la fois précieux et fragile. Il en va de même pour celui des activistes bénévoles d’Amnesty International, ces personnes qui jouent un rôle majeur dans son projet de promotion, défense et développement des droits humains.
Le secrétariat national d'Amnesty International Belgique francophone se soucie de ses activistes. Pour deux raisons.
(i) Les activistes bénévoles, chacun·e à son niveau et à sa façon, accomplissent un travail gigantesque de promotion, défense et développement des droits humains. Ils et elles sont la ressource la plus précieuse d'Amnesty, celle qui permet le mieux à l'organisation d'accomplir sa mission. Se soucier de cette ressource, c'est œuvrer pour le bien de l'organisation.
(ii) Dominique Pire disait que « les hommes (il ajouterait aujourd'hui les femmes ndlr) s'estiment et s'apprécient en travaillant ensemble à quelque chose d'utile ». À force d'interagir, de se côtoyer, d'agir ensemble, de discuter se construit une relation spéciale de personne à personne. Ce n'est plus le secrétariat national qui parle, mais Marine, Antoine, Marie, Philippe, Layla, Laurent, Diane et les autres. Nous tenons à vous. Et nous nous soucions de vous.
Tout cela nous a amené·e·s à inclure le bien-être des activistes dans le plan stratégique de la section et à décider d'interroger les activistes bénévoles sur leur bien-être dans le contexte de leur engagement, comme cela se fait régulièrement pour le personnel rémunéré. Recueillir une information de qualité permettra d'orienter nos réflexions et le cas échéant prendre des mesures.
Se soucier du bien-être, c’est aussi lutter contre les éventuels comportements discriminants. Vivons-nous, dans le mouvement, les valeurs que nous prônons quotidiennement ? Vit-on, à Amnesty International, l’accueil de tou·te·s, et le respect des différences ou sommes-nous, à l’image de la société, coupables de discriminations ? Si ce devait être le cas, il faudrait le savoir pour le corriger. Ce sondage participe à cet état des lieux préalable.
Ce sondage vous interroge sur de multiples dimensions de la vie activiste. Il est recommandé d’y répondre seul·e. Vos réponses seront confidentielles et, si nous rendons publics les principaux enseignements, ne seront cités ni aucun nom, ni aucune situation permettant de reconnaître l’un·e de ses protagonistes.
https://forms.gle/4SWtcUAwfgJXge3j7
Merci d'avance pour votre participation (avant la fin de ce mois de septembre) à cet important sondage.
Philippe Hensmans, directeur, avec ceux et celles qui vous accompagnent : Antoine Caudron, Diane Semerdjian, Laurent Deutsch, Layla Mokaddem, Marie Gervais et Marine Jeannin