La sobriété heureuse existe t-elle? si oui, comment faire?

12 juin 2020

- Pas de raison d’aller se remettre dans la merde !

- À une réunion quelqu’un avait dit « il n’y a pas d’abstinence qui dure si elle n’est pas heureuse ! » Ça veut dire qu’il y a des abstinences malheureuses….

- Une sobriété heureuse ça se construit…

-Moi, je suis passé par différentes étapes : l’étape d’expérimentation de la sobriété, puis l’étape de vouloir se faire plaisir.

- Forcément il y a du bonheur parce que l‘alcool ou la drogue nous éloignent du bonheur. On se reconnecte avec les autres, avec ses vraies envies, ce n’est pas un manque.

- Se rappeler les choses… pour moi la balance est vite faite !

- Moi, je sais que depuis qu’il y avait la maladie on avait repris un peu…

- Moi aussi, on a rattrapé la merde, rattrapé le temps perdu…2 mois entre quatre murs, c’est bon ! On s’est remis au boulot et voilà, ça va mieux. On déménage le 7 juillet.

- Rien que de montrer aux autres que le « qui a bu boira » c’est faux ! être fier.

- Pour retrouver la santé…

- Le soir, quand je n’ai pas le moral !

- M’alléger du poids de ce problème en même temps que de m’alléger de quelques kilos…. Pouvoir refaire du sport, tout est lié à l’alcool, la nourriture, les médicaments… Je me rabattais sur ce qui me remplissait.

- Je pense que je n’ai jamais été aussi heureux que depuis que je suis sobre. Je n’ai plus la peur du gendarme, la peur des autres. J’ai renoué avec tout ça : goût du travail à nouveau, la liberté, plus de contrainte à vivre, faire ce que je veux quand je veux !

- Je n’arrivais plus à sortir mon petit chien. J’ai de nouveau envie d’aller vers les autres.

- Un nouveau regard sur les autres, mais surtout sur moi-même !

- Perte de mémoire que je n’ai plus. J’ai retrouvé la gymnastique des chiffres, je tiens mon agenda, c’est mon métier.

- Retrouver son propre équilibre.

FIN