Nos raisons de vouloir arrêter quelque chose de nocif. ?
1 Juillet 2016
Nos raisons de vouloir arrêter quelque chose de nocif. ?
« Au début, c’était festif, stupéfiants, alcool, abus en tout genre… ».
« Je ne pensais plus qu’à boire jusqu’à une bouteille de Ricard dans la journée et une bouteille de Whisky le soir…Je me suis dit : si je continue je vais en crever ! ».
« Récupérer l’affection et l’amour de mon fils… ».
« Dans l’alcool, on est dans une prison, j’en avais marre de toujours vérifier la réserve de Ricard ! ».
« Depuis trois ans, je fais tout le bilan de ma vie, je ne vois que du positif. C’est comme une seconde vie ».
« Quand on est dans l’alcool on ne peut pas avoir de travail, on ne peut pas prendre sa voiture, on ne fait rien de sa vie ! ».
« Motivez-vous ! Trois ans c’est comme si j’avais arrêté hier ! ».
« Je ne me rendais pas compte que je faisais du mal aux autres ! Fallait que j’arrête ! ».
« Ce qui m’a motivé c’est la santé physique et mentale, y compris celles des autres, de la famille, des proches… ».
« Ne plus avoir d’émotions même dans son travail dont on est fier ! C’est un beau chemin duquel on enlève les ronces… ».
« Ce qui nous motive c’est aussi d’améliorer ce qu’on donne à voir de nous-même, dans l’alcool c’est pas valorisant ! ».
« L’héroïne et la cocaïne ça fait maintenant 24 ans que j’ai arrêté. Pour l’alcool, ça fait trois ans avec deux petits écarts ! J’ai l’impression que je suis sur la bonne voie ! ».
« On décide d’arrêter pour se faire plaisir, pas pour faire plaisir à quelqu’un d’autre ! ».
« Pour moi, l’alcool est une cause de maladie mais non une maladie… »
«Ca va bien pour moi depuis un an après sevrage et postcure à Nègrepelisse ».
« Peur de mourir, de ne pas en réchapper… ».
« Le goût du défi, le goût du jeu… ».
« Raisons familiales ou professionnelles… ».
« Sentiment que je ne maîtrisais plus rien, que ma vie, à ce moment-là m’échappait… ».
« Des moments de plus en plus fréquents de blackout, de perte de conscience complète, des trous de mémoire abyssaux … »
« A la moindre contrariété, c’était six Lexomil et une bière … ».
« La peur de ne plus pouvoir m’occuper de mes enfants… »
« La destruction fait place à la remise en question, je casse l’ancienne vie pour une nouvelle vie…La remise en question entraine la guérison ! ».
« Pour moi l’alcool c’est une maladie, c’est du poison. Ça fait deux mois que je n’en n’ai plus retouché une goutte, je me suis remise en question… ».
« Ma mère, ça la fait souffrir de me voir me détruire ! ».
« Je retravaille et je vais m’occuper de mon fils… »
« J’ai fait deux pancréatites, ça suffit ! »
« Problèmes liés au travail, je me demande comment j’ai pu faire ça : bâcler mon travail…En plus, je n’assumais plus mon rôle dans la famille… »
Synthèse de nos raisons de changer
Ø Instinct de conservation
Ø Santé physique et mentale (de soi et des proches).
Ø Problèmes d’image : l’alcool c’est dévalorisant !
Ø Incapacitéà travailler.
Ø Sortir d’unemprisonnement, regagner sa liberté.
Ø Unemaladie : aider à en guérir.
Ø Le conjoint qui en a marre.
Ø Récupérer de la confiance en soi, confiance des autres.
Ø Un défi .
Ø Se faire plaisir .
Ø La crainte desgendarmes qui entrainela perte du permis de conduire.
Ø Prendre la décision de biens’occuper de soi.
Fin