Activité B

Mon initiative s’intéresse à la comparaison des médias sociaux les plus populaires aujourd’hui, soit Facebook, Instagram, Twitter, LinkedIn, Pinterest, Snapchat, YouTube. Bien que mon site héberge également d’autres contenus, il possède une page principale (https://sites.google.com/view/site-web-maxime-piche-inf6107/facebook-instagram-twitter-linkedin-pinterest-snapchat-youtube) présentant le contenu de l’activité se découlant en deux « subpage » où l’on compare, dans un premier temps, les données démographique clés (https://sites.google.com/view/site-web-maxime-piche-inf6107/facebook-instagram-twitter-linkedin-pinterest-snapchat-youtube/d%C3%A9mographie-cl%C3%A9s), puis la démographie par pays (https://sites.google.com/view/site-web-maxime-piche-inf6107/facebook-instagram-twitter-linkedin-pinterest-snapchat-youtube/d%C3%A9mographie-par-pays). Je considère qu’il s’agit d’information relativement intéressante pour l’ensemble des utilisateurs de réseaux sociaux, ce qui a pu potentiellement aider à augmenter mon trafique provenant de mes contacts personnels. On compare, dans la première partie, le genre, l’âge, l’emplacement, le revenu et l’éducation des utilisateurs de chacun des médias sociaux, alors que dans la deuxième partie, on compare le nombre d’utilisateurs par pays.

Afin de faire connaître au maximum mon initiative, j’ai, tout d’abord, comme suggéré dans l’énoncé du travail, partagé le lien de ma page principale dans Diigo avec le groupe INF6107 avec l’étiquette Activité-remise et Activité-B. Ensuite, j’ai partagé ce même lien sur mon compte Twitter, avec une brève explication de sa portée. Bien que ma présence sur les réseaux sociaux avant le début du cours soit casi inexistante, je possédais au préalable un compte Facebook avec un nombre considérable d’amis ce qui m’a amené rapidement à partager mon initiative sur ce medium. L’utilisation d’Instagram et Snapchat fut également utilisé pour partager mon initiative malgré une présence moins importante sur cette plateforme. Enfin, afin de m’assurer d’obtenir un nombre suffisant de données pour établir une analyse pertinente, j’ai partagé personnellement à ma famille et amis proches, par message texte, le lien de mon initiative en encourageant sa navigation et son partage.

À la lumière des données recueillies dans le dernier mois via Google Analytics, nous allons analyser les différentes tendances de nos utilisateurs. En se référant à la figure ci-dessus, on remarque que mon initiative a reçu très peu de visite lors de son lancement, puis a vu ses visites montées considérablement pendant la période du 31 janvier au 6 février. Ce fut le calme plat par la suite, jusqu’au 18 février où quelques utilisateurs supplémentaires visitèrent le site.


En ce qui a trait au medium, on remarque que les nouveaux utilisateurs proviennent en grande majorité d’aucun medium (none). Cette situation s’explique facilement par ma stratégie de contacter directement mes proches par message texte. Lorsque ces utilisateurs ouvrent le lien via un message texte, Google Analytics ne reconnaît aucun media sociaux d’où leur classification. Mon dernier effort pour augmenter ma visibilité fut réalisé via Facebook, il s’agit ici des quelques « referral » que l’on aperçoit sur le graphique. La provenance de mes utilisateurs fut uniquement de l’Amérique du nord, avec 17 au Canada et 2 des États-Unis.


Au niveau de la rétention des utilisateurs, on peut remarquer que seulement 5,9% des visiteurs de la semaine un est revenu à la semaine deux. Cette tendance se maintient jusqu’à la semaine trois, où ce nombre tombe à zéro pour ensuite augmenter à 50% la semaine suivante. Je crois que ma deuxième vague de sollicitation a contribué à faire revenir quelques anciens visiteurs de la semaine un. Sans surprise la page la plus visitée est celle partagée sur les différentes plateformes sociales, soit Comparaison des médias sociaux les plus populaires en 2020 avec 67 visites suivis de la page présentant le contenu soit Facebook, Instagram, Twitter, LinkedIn, Pinterest, Snapchat, YouTube avec 41 visites. Étonnamment, mes autres pages de contenu ont reçu la même attention, même si l’activité D, par exemple, contenu dans le site, ne fut jamais mentionné lors de la phase de sollicitation.

Je suis convaincu que l’un des facteurs qui a aidé à la visibilité de mon initiative fut, dans un premier temps, les communautés que j’ai rejoint avant et durant mon initiative. Il s’agit ici de mes collègues et différentes communauté s’intéressant aux réseaux sociaux qui ultimement seront ceux qui seront le plus portés à visiter mon site et même à y revenir dans le futur. Un autre facteur qui a certainement aidé est une combinaison du choix de mon sujet et de mon initiative personnelle a contacter personnellement mes proches. En effet, mon sujet rejoint pratiquement l’ensemble de la population, qui utilise d’une façon ou d’une autre les réseaux sociaux, ou du moins sont exposés à ceux-ci. Ce faisant, leur propension à cliquer sur le lien et le consulter dans son entièreté était maximisée. De plus, étant donné ma faible présence préalablement au cours sur les réseaux sociaux, rejoindre directement mes proches m’a non seulement assuré une certaine visibilité, mais aussi permis de profiter de leur grand potentiel qu’offre le partage de mon initiative sur leurs réseaux sociaux, beaucoup plus actifs que les miens.


Comme mentionné précédemment, ma faible présence préalable sur les réseaux sociaux m’a sans aucun doute nuit quelques peu à rendre visible mon initiative. En effet, ce travail m’a vraiment montré à quel point il n’est pas nécessairement difficile de bâtir un grand réseaux de contact sur plusieurs plateformes, mais il est difficile d’attirer leur attention, eux aussi, soumis à un nombre faramineux d’informations provenant de différentes plateformes sociales. Le faible nombre d’étudiants dans le cours n’a certainement pas contribué à une grande visibilité également, étant les plus sujet à cliquer et consulter le lien lors du partage sur Diigo et Twitter par exemple.