Efeacam, maintenant MONDE et BONHEUR a été créée le 16/11/2005 en France au Cameroun en 2006. C’est une association apolitique à but non lucratif qui poursuit ses actions en France et au Cameroun.

Même si la problématique jeunesse et femme reste importante parce que souvent défavorisées. Monde et Bonheur a de ce fait diversifiée les populations cibles de ses actions, particulièrement au Cameroun, à travers un travail à long terme destiné aux populations les plus défavorisées et essentiellement vulnérables. Un soutien a toujours été apporté à travers la fourniture de matériel divers par des donateurs.

Au Cameroun, MONDE et BONHEUR assure la représentation la coordination et la gestion des programmes et projets de l’association. Elle collabore avec les représentations locales des commune et l’Etat.

Les activités de Solidarité internationales ont débuté en 2006 par des dons d’infrastructures scolaires et la création des antennes de BATCHENGA, BONDJOCK, ET LOMIE/ ABAKOUM. Depuis lors, MONDE et BONHEUR met en oeuvre beaucoup d’autres mécanismes de solidarité envers les tranches de population les plus défavorisées.

L’association est restée ouverte à toute initiative de partenariat national et international avec d’autres pays d’Afrique et dans le monde. Cette ambition nous a amené alors à une transformation significative lors l’assemblée générale de 2010 en vue de la re-dynamisation des instances dirigeantes de l’association. Il fut opéré un changement de dénomination, EFEACAM devient «MONDE ET BONHEUR» (ou M&B).

MONDE ET BONHEUR dans la nouvelle vision, vise à promouvoir la protection de l’environnement et le développement durable, axé sur l’organisation des bénéficiaires, le renforcement de leurs capacités, la programmation, la planification et la mise en oeuvre d’actions concrètes pour le développement social et économique de leurs conditions de vie dans leurs localités.

Il s’agit de mécanismes visant leur propre développement et les rendant plus responsables et autonomes. Ceci sera atteint à travers la maitrise et le développement des capacités, des outils et des mécanismes adéquats par les communautés, permettant ainsi de renforcer l’impact global de l’amélioration de leurs conditions de vie et de leur épanouissement dans leur milieu respectif. Une réponse par rapport aux objectifs du millénaire.