Généalogies simplifiées

L'arbre simplifié ci-contre illustre l'appartenance à une lignée de notaires. Mohamed-Salah Mzali (1896-1984) est entouré en rouge. On remarquera la présence d'un homonyme sur la même ligne. En haut de l'arbre, l'arrière-arrière-grand-père, le Haj Hamouda Badr Mzali représenté par sa khanfoussa (signature spécifique aux notaires) puis ses deux fils, Mohamed (1817-1863) et Salah (1823-1884), puis les fils de ces derniers Hamouda (1851-1887) et Mohamed (1852- ), tous également représentés par leur khanfoussas respectives. Hamouda (1851-1887) est le père de Mohamed Mzali (1869-1952) également notaire et le grand-père de Mohamed-Salah Mzali qui, lui aussi et pour respecter la tradition familiale, a sollicité et obtenu l'agrément beylical pour exercer la profession de notaire.

L'arbre simplifié ci-dessous étend la perpective en remontant jusqu'au XVIIe siècle en ce qui concerne le patriarche et au XVIIIe en ce qui concerne les premiers notaires authentifiés. Il illustre une généalogie du savoir avec des cheikhs, des notaires, des magistrats et, dans la période plus récente, des pédagogues. Les notaires figurent en rouge. Mohamed-Salah Mzali apparaît en dernière ligne et complètement à gauche. Plusieurs frères peuvent apparaître dans une même case lorsque leur descendance n'est pas renseignée. Le Cheikh Mufti Mohamed Mzali est référencé dans l'oeuvre de Ibn Abi Dhiaf. Le Cheikh Mhamed Mzali a émigré à La Mecque et sa descendance a pris le nom de El Alem. Les signatures sont toutes autographes.