Des lectures très différentes, aucun lien entre elles… à part le fait que je n’avais pas grand-chose à dire, mais trop envie d’en parler quand même. Alors les voici, réunies dans une chronique patchwork, version express mais sincère ✨.
Un roman sur le deuil, oui, mais pas seulement. Ce que j’ai trouvé beau ici, c’est la lumière dans l’obscurité. Une histoire de reconstruction, d’acceptation, d’une vie qui continue… même quand on pensait que ce ne serait plus possible. J’ai eu peur que ce soit lourd, mais c’est au contraire tendre, lumineux et parfois très drôle. Les personnages sont attachants, et la plume m’a vraiment plu. Un très joli moment.
J’avais enchaîné quelques romances décevantes et j’étais pas d’humeur très coopérative… mais contre toute attente, j’ai bien aimé ! C’est fun, fluide, sans prise de tête, et les personnages ont une bonne dynamique. Pas un coup de cœur, mais une lecture parfaite pour une soirée détente. Je ne me précipite pas sur la suite, mais je la garde sous le coude pour une future "panne de lecture & besoin de légèreté".
Trouvé par hasard en librairie, lu d’une traite. C’est l’histoire d’un frère et d’une sœur après l’assassinat de leur mère… par leur père. Le récit est sobre, poignant, pudique. Je serais bien incapable de résumer clairement ce qui s’y passe, mais je me souviens du ressenti. C’est un roman court, simple en apparence, mais très juste dans ce qu’il dit du choc, du vide, de la survie. Et cette phrase résume tout :
« Le long combat de deux victimes invisibles pour réapprendre à vivre. »
C’était trop bien ! Voilà, c’est tout. Je suis fan de mythologie donc j’étais à fond dès les premières pages. Retrouver dieux, monstres et créatures dans le monde moderne, c’est fun, rythmé, super bien pensé. J’ai déjà prévu d’acheter la suite (et d’éviter les spoilers à tout prix). Lecture jeunesse ? Oui. Mais franchement, j’ai pris un plaisir énorme à suivre les aventures de Percy & compagnie.
L’idée était top. Le résultat… beaucoup moins. J’ai mis des semaines à lire ces 200 pages, et j’ai l’impression de ne rien avoir compris. Le style se veut poétique mais vire au pompeux, les tournures sont alambiquées, le vocabulaire sorti tout droit d’un dictionnaire du XIVe siècle… et le marque-page, personnage principal, se prend terriblement au sérieux. Je me suis accrochée jusqu’au bout, espérant un éclair de génie final. Spoiler : il n’est jamais venu.