AVERTISSEMENT : Le sujet employé dans cet article est extrêmement complexe. Ce sujet n'est qu'en partie abordé dans celui-ci, et les possibilités d'erreurs sont nombreuses, tant dans ma compréhension que dans celle des scientifiques analysant toujours ce sujet, dont certaines parties restent à ce jour encore inconnues ou seulement à un stade d'hypothèse.
Dans cet article, nous allons parler de la notion de vie sous plusieurs points de vue. Nous aborderons des regards plus scientifiques, critiques et personnels sur le sujet. Veuillez prendre en compte que je ne suis en aucun cas qualifié, ni philosophe, ni scientifique. Les recherches effectuées sont formulées et filtrées en fonction de mes centres d’intérêt. Vous êtes libre d’avoir votre propre interprétation du sujet.
Avant d’aller plus profondément dans le sujet, intéressons-nous à la définition de la vie : "c’est l’ensemble des phénomènes qui assurent le développement des êtres vivants, de la naissance jusqu’à la mort." (Dico. Hachette Collège, 2016). Pour rappel, "en biologie, un organisme vivant résulte d’un système complexe issu de l’évolution, formé d’une ou plusieurs cellules, et regroupé en espèces partageant des caractéristiques communes." (Larousse, 2025). Une cellule est le composant d’un être vivant ; elle est toujours composée d’une membrane et d’un noyau. La plupart des cellules se divisent (excepté les cellules spécialisées : neurones, globules, etc.). On parle alors de division cellulaire. Lorsqu’une cellule se divise, elle donne naissance à deux autres cellules, et le phénomène est exponentiel (dans des conditions adéquates). La division cellulaire, trouvée et intégrée par le biologiste allemand Walther Flemming en 1882, est un processus où une cellule mère se sépare pour former deux cellules filles, généralement identiques à elle. Elle permet la croissance, la régénération des tissus et la reproduction de la vie.
En effet, les cellules sont la base de toute vie, selon un modèle imaginé par John Horton Conway, un mathématicien britannique qui s’est intéressé aux théories des regroupements (in)finis en 1970. Ce modèle représente des cellules sous forme d’automate cellulaire : c’est un modèle mathématique où des cellules disposées en grille changent d’état selon des règles locales appliquées à leur voisinage. Il illustre comment, comme dans le vivant, les règles simples de la division cellulaire peuvent engendrer des comportements collectifs ultra complexes et se développer de manière exponentielle vers l’infini. Cette cellule, c’est nous, ou plus exactement une partie de nous. En effet, en utilisant le modèle mathématique de Conway, une cellule est à la base de n’importe quel être vivant et donc de l’apparition de bactéries, de cellules sur une planète, cette même cellule qui se duplique grâce à la division cellulaire. Ainsi, ces cellules ont évolué pour donner de la vie, des végétaux et des animaux selon un modèle où, lentement certes, tout est possible.
Mais la question que l’on pourrait alors se poser est : "comment s’est créée cette première cellule ?"
La théorie la plus probable à ce jour est celle de deux biochimistes, Alexander Oparine et John Haldane, sur l’évolution chimique au fil du temps. Cette théorie, aussi connue sous le nom de "théorie de la soupe primitive", créée et imaginée en 1925, reste aujourd’hui la plus probable et la mieux justifiée expérimentalement. Elle consiste à comprendre que la vie est composée de milliards de molécules simples, notamment dans les océans nouvellement formés par la jeune Terre, il y a environ 4 milliards d’années. Avec le temps, ces molécules se seraient combinées grâce aux énergies (éclairs, UV du Soleil, chaleur volcanique…) pour former des molécules organiques plus complexes, puis des structures auto-organisées, jusqu’à donner naissance à la première cellule vivante. L’on peut donc imaginer que le modèle de Conway avec les automates cellulaires soit non seulement valable pour les cellules, mais également, à l’aide d’énergies extérieures, capable de former des réactions chimiques au sein des molécules elles-mêmes.
Cette découverte propulse alors le modèle de Conway à un autre niveau : celui de l’Univers. Certains chercheurs et physiciens, comme Stephen Wolfram en 2002, se sont alors demandé si notre univers entier n’était pas qu’un automate cellulaire extrêmement complexe, obéissant à des règles simples mais donnant naissance à tout ce que nous voyons. La question étant toujours sur la table aujourd’hui, je n’aurai pas de preuve à vous y apporter. Personnellement, je n’ai aucun mal à croire que ce modèle, d’apparence extrêmement simple, soit en fait le modèle de toute existence, de bien matériel ou physique, qui, entre eux, ont créé l’univers, toute cause de la vie.
Une autre cause de vie, et nous en avons parlé précédemment, c’est l’eau. En effet, l’eau est la base de toute vie et, si l’on en croit la théorie de « la soupe primitive », les premiers êtres vivants seraient apparus grâce à cette eau. Cela expliquerait pourquoi chaque forme de vie est encore aujourd’hui constituée en grande partie d’eau. Dans de nombreuses cultures, l’eau est représentée comme l’élément de la vie, un symbole d’éternel recommencement. L’eau est considérée comme la condition même de l’existence. C’est cette eau qui permet à nos cellules de fonctionner et de réguler l’être. C’est elle qui rend possible le passage de simples molécules immobiles à la matière vivante, symbolisée par le mouvement. Ainsi, l’eau n’est pas seulement une substance, c’est un souffle qui anime le monde du vivant. L’eau est le souffle qui relie la matière à l’esprit, la vie à son éternel recommencement. Le temps, quant à lui, est une trame invisible sur laquelle la vie s’inscrit petit à petit. Il façonne chaque être vivant. Chaque souffle est une mesure du temps qui passe : à chaque respiration, la vie se renouvelle, le futur prend vie et le présent devient passé. Vivre, c’est accepter que le temps nous traverse, qu’il nous construit tout autant qu’il nous efface. Mourir n’est pas une rupture, mais un retour à ce cycle dont l’eau est le symbole : l’éternel recommencement du vivant. Car la vie n’est qu’un instant du temps, mais le temps fait de chaque instant une vie.
Pour conclure, je dirais que la vie est née d’un enchaînement de hasards et de lois paraissant simples, qui créent des modèles complexes tels que l’humain. Mais si tout émerge d’un équilibre fragile entre ordre et chaos, alors peut-être faut-il se rappeler que la vie, aussi précieuse qu’insaisissable, reste instable et ne dure pas éternellement, et que celle-ci n’est qu’un instant dans l’immensité de l’univers. C’est sa brièveté même qui lui donne toute sa valeur.
Utilisation d'IA pour l'aide au texte.
Ecrit sur base de volontariat et de fun
BY
Luke JONAS
Jeux_Libre
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Pour allez plus loin ou avoir une meilleurs compréhensions de l'article, je vous invite fortement à visionner cette vidéo : https://youtu.be/eMn43As24Bo?si=oMTf4QZQyr4L21LZ ( à l'origine de toute mes recherches ).