GRENoBLE est à l'image de la ville : un mélange de mélancolie soviétique, d'absurde humanité et de nature parcourue en short-baskets.

A l’apparence badine, Régis Monte, au contact d'un piano, nous précipite dans son monde d'enfant ayant grandi trop vite. Les chansons ont la pudeur de l'anglais. Le piano rend compte de l'indicible.

C'est un projet à la sincérité viscérale qui rappelle ses influences de Nina Simone, Chopin ou encore Thom Yorke.