Glyphotest, la manipulation importée par Générations Futures et développée par "Campagne Glyphosate"
Vous vous souvenez du dépôt des 7000 plaintes, partout en France des « pisseurs de glyphosate » et d’Envoyé Spécial du 17 janvier 2019 avec des célébrités qui découvraient les résultats d'une soit disant mesure des traces de glyphosate dans leurs urine.
"Notre test, avec la méthode Elisa, est fiable" affirmaient les anti-glyphosate.
"Non, nous avons vérifié, dans la littérature scientifique et avec des contre tests utilisant la bonne méthode (chromatographie) : Elisa détecte des faux positifs et majore les données" démentaient les agriculteurs, "nous demandons aux pouvoirs public de vérifier nos dires". Mais les pouvoirs publics (avec Nicolas Hulot qui voulait, à l'époque, interdire la molécule) n'ont surtout pas voulu trancher.
Le collectif d'agriculteurs, scientifiques et journalistes a repris l'enquête à la base : il ne s’agit pas débat de techniciens sur les limites d’un test mais une manipulation de l'opinion conçue en Allemagne, utilisée ensuite par les parlementaires européens « verts ». Elle a été importée en France par Générations Futures et développée par les « faucheurs d’OGM cachés » et leur avocat, fondateurs de « Campagne Glyphosate ».
Le dossier d'enquête, qui continue de s'étoffer, a été porté à la connaissance de la justice par la FNSEA37, la FDSEA36 (et le CETA36CB).
Pourquoi l'utilisation du glyphosate est préférable au labour ? Un des exemples pour le maïs expliqué par François Arnoux, céréalier en Vendée : Lien