Universités de l'EFC 20 et 21 nov. 2025 - INSCRIPTIONS OUVERTES !
Ce rendez-vous, devenu incontournable, est co-organisé cette année par l’IEEFC et l’ADI et sera l’occasion de :
Explorer des thématiques actuelles : mobilité, énergie, bien-vivre alimentaire, culture, santé au travail... autant de sujets abordés à travers des témoignages inspirants et des échanges constructifs.
S'immerger dans l'EFC : découvrir les concepts clés tels que le pilotage par les ressources immatérielles, l'effet ciseau ou la mise en récit, pour repenser les modèles économiques et sociaux
Rencontrer des acteurs engagés : dirigeants, élus, chargés de mission... tous réunis pour partager leurs expériences et co-construire des solutions durables.
Vivre des moments conviviaux : au-delà des conférences et ateliers, des temps informels et une soirée festive pour renforcer les liens et favoriser les synergies
Découvrir les Universités : www.ieefc.eu
à voir sur ce site
Ecoutez la voix d'un dirigeant qui a pris une trajectoire + soutenable
La santé et la transformation des organisations de travail sont un des fers de lance de L'IEEFC et de son écosystème. La collaboration avec l'ANACT apparait alors comme une évidence et plusieurs projets sont en cours sur les territoires.
L'AGENCE NATIONALE POUR L'AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL
L’Anact a pour vocation d’améliorer les conditions de travail en agissant notamment sur l’organisation du travail et les relations professionnelles. En s'appuyant sur les enseignements de projets-pilotes qu'elle mène avec des entreprises, elle conçoit et diffuse, à destination des salariés, de leurs représentants et des directions — mais aussi de tous les acteurs qui les accompagnent — des méthodes et outils dans un objectif partagé : concilier durablement qualité de vie au travail et performance.
Face aux défis environnementaux et sociaux contemporains, l'IEEFC a été retenu dans le cadre d’un appel à manifestation d’intérêt (AMI) de L’ANACT, intitulé «Ecologie et travail», en partenariat avec le CJD, dans le but d’accompagner les organisations qui souhaitent articuler la question écologique et celle du travail, notamment le travail du dirigeant.
Objectifs du projet
Le Kit « Écologie & Travail » a pour ambition de :
Donner envie et créer des conditions favorables à l’engagement des personnes, par un travail sur les modes de pensée
Comprendre le lien entre écologie, travail et performance de l’entreprise
Interroger le modèle de performance de l’entreprise et son rapport aux ressources
Penser les conditions de la transformation à partir du “déjà-là“
“Economies poétiques“
Vivre l’économie de la fonctionnalité et de la coopération
Économies poétiques ? Quel drôle d’assemblage… Nous nous disons a priori que des milliers de kilomètres séparent le monde de l’économiste et le monde du poète. Mais peut-être jugeons-nous trop vite ; peut-être, comme le dit Romain Demissy dans l’une de ses lettres à Thomas Demoulin, « qu’il y a besoin d’abandonner cette facilité et ce confort d’esprit qui ne résiste pas longtemps à l’épreuve du réel ».
Pour entendre ces dimensions invisibles, le poète écoute et laisse la parole ; l’économiste, en homme d’échange, s’engage alors dans une correspondance. Économie et poésie ont beaucoup de choses à se dire, un autre monde s’ébauche…
Thomas Demoulin, le poète et Romain Demissy, l’économiste, vous proposent des temps de lecture et d’échanges autour de ce “drôle d’assemblage“ à Strasbourg, à Paris et bientôt en Normandie [pré-inscriptions normandes ici] !
Vous êtes un professionnel du secteur de l’industrie, engagez la transition de votre entreprise vers l’économie de la fonctionnalité : Pourquoi ? Comment ?
Vous êtes un professionnel du secteur du commerce, engagez la transition de votre entreprise vers l’économie de la fonctionnalité : Pourquoi ? Comment ?
La DREETS et l’ADEME Provence-Alpes-Côte d’Azur proposent de vous présenter le modèle économique de la fonctionnalité et les dispositifs d’accompagnement en la matière. Ce webinaire sera également l’occasion de découvrir les multiples bénéfices d’un modèle recentré sur l’usage.
Cher(e)s adhérent(e)s, cher(s) sympathisant(e)s,
C’est par des transformations plus profondes que de réels progrès peuvent être accomplis vers une société plus désirable.
L’Économie de la Fonctionnalité et de la Coopération (EFC) est à la fois une grille de lecture et d’analyse de ce qui se joue dans la Société et un outil d’élaboration de solutions permettant les transformations souhaitées.
Le rôle de l’Institut Européen de l’EFC est d’accompagner les acteurs intéressés par la démarche EFC en soutenant leurs actions, en développant des ressources et des moyens à partir des expériences menées dans les entreprises et sur les différents territoires par les membres et en facilitant des dynamiques de coopération.
Dans cette communauté les clubs jouent un rôle essentiel dans la réalisation des ambitions de notre dynamique commune. Leur proximité avec les acteurs territoriaux est un atout précieux pour faire connaître l’EFC et en assurer la promotion, et les expériences vécues sur leurs territoires nourrissent la doctrine qui est constamment questionnée par le réel.
Le travail effectué depuis un peu plus d’un an pour définir les bases d’une nouvelle étape de la vie de l’Institut est assez remarquable et laisse augurer positivement de la capacité de notre institut à contribuer utilement aux transformations que nous appelons de nos vœux.
Toutefois, au regard des échanges que nous avons eus dans le cadre de ce travail, il me semble que cette contribution ne se réalisera pleinement que si nous progressons, a minima, sur les trois axes suivants :
Clarifier les relations entre l’Institut et ses membres et entre les membres eux-mêmes :
Même si l’Institut peut porter en propre certaines actions, son principal intérêt réside dans les relations qu’il entretient avec ses membres. Nous formons un écosystème, l’aspect systémique prend tout son sens ici. (Ce sont bien dans les liens entre les parties, leurs interactions et leurs conséquences que se trouvent les éléments indispensables à la réussite de l’ensemble). On ne peut pas se contenter de dire que l’Institut « anime ses membres », il faut préciser les apports mutuels possibles et attendus, répondre aux attentes de chacun et s’organiser en conséquence. Cela est donc le premier axe sur lequel il convient de progresser selon moi.
Faire vivre un espace de gouvernance élargi et continu :
Je pense notamment qu’il convient d’instaurer des rencontres régulières entre l’institut et ses membres, rencontres collectives comme il en existe déjà mais aussi des rencontres bilatérales entre l’institut et chacun de ses membres. Il s‘agit de tenir l’équilibre délicat entre la cohérence d’action au sein de la communauté et le respect de l’autonomie de chacun de ses membres. L’instauration de rites de vie qui permettent une meilleure proximité entre nous contribuant à une gouvernance mieux partagée et entretenant la « fraternité » dont je parlais tout à l’heure me paraît souhaitable ;
Faire de l’Institut un acteur des transitions incontournable dont l’avis est écouté et si possible suivi. Et l’EFC dont l’apport à la compréhension du monde doit être connu et reconnu.
Cela sous-entend un effort de communication, il s’agit par exemple de s’introduire dans le débat public, de rédiger des communiqués de presse pour faire connaître notre projet, les étapes importantes de la vie de l’institut, etc. D’autres parviennent à drainer des finances, des soutiens, des partenaires alors que leur action ne repose pas sur un fondement aussi complet et structuré que l’EFC, simplement parce qu’ils communiquent de manière efficace.
Nous devrions être capable de faire encore mieux, nous en avons tous les ingrédients !
Jean-Michel Thouvignon, Président de l’IEEFC