“Si vous voulez être libre de vos émotions il faut avoir la connaissance réelle, immédiate de vos émotions.” Arnaud Desjardins
D'abord, deux extraits (article ou éditorial) de journalistes du journal spécialisé de rugby, Midi Olympique.
Je les trouve intéressants car ils s'adressent à toute personne intéressée par le rugby ou inversement qui ne comprend vraiment pas qu'on se mette dans un tel état émotionnel.
Léo Faure
Pour une analyse plus poussée, il vous faudra lire cette chronique de Richard Escot, journaliste à L'Équipe depuis 1985.
Extrait :
Un ressort s'est brisé, il affaisse nos emportements. Nous en venons à ressentir les aspérités d'une route qui mène au titre mondial. Un voile de tristesse recouvre nos émotions ovales, lesquelles ont perdu de leurs éclats de voix. Depuis vendredi dernier, l'automne nous enveloppe à mesure que le thermomètre descend de plusieurs degrés. La nuit tombe vite en cette fin octobre.
Et comme j'aime tant l'objet livre, autant que la lecture de ses chroniques web, il m'est arrivé à deux reprises de m'adresser justement à Richard Escot pour lui glisser l'idée "d'enfermer" ses chroniques les plus intemporelles dans un livre.
Ce livre est à paraître très vite aux Éditions Passiflore .
Je vous en livre un extrait qui permettra aux amateurs de rugby(ou pas😉) et de littérature de se faire une idée, de la richesse et de la complexité de ce jeu.
La dernière chronique de cet extrait de livre se terminait au sujet de l'équipe de France de rugby par :
Lui reste, pour faire la différence et entrer dans l'Histoire, à gagner ce supplément d'âme mais aussi cette dureté mentale sans laquelle toute espérance finit irrémédiablement broyée.
A deux points près cette entrée dans l'Histoire aurait été encore possible.
Pour poursuivre sur ces notions d'émotions provoquées par le sport , voir cet article de mon blog