Histoire de poids, problématique des accidents...
Tous ces articles datent d'avant 2020 et décrivent les particularités de la formation au rugby en Nouvelle Zélande.
Ils sont en PDF. Sur un téléphone quand on clique sur le lien, le fichier se retrouve dans les téléchargements, sur un ordinateur, ils s'ouvrent dans un nouvel onglet la plupart du temps selon le navigateur.
Ils viennent argumenter et proposer des solutions pour que la pratique du rugby, au moins dans les catégories de jeunes ne soit pas réservée à ceux qui n'ont pas peur de se faire "renverser", "plaquer" par un.e adversaire une et demi voire deux fois plus lourd.e et plus grande et pourtant du même âge. Cf "le poids des maux" ci-dessous que j'ai remplacé d'évidence par le poids des mots😉 (cf Et moi? Si j'avais pu...)
Midol vert du 15 juin 2018 Edito demain c’est loin
Excellent article sur la formation en NZ la photo qui illustre cela
Toto et Lolo chez les kiwis midol du 11 juin 2018
Boubou sur la balance, par Hugh Chalmers
Mon cas personnel illustre comment cette histoire de "gabarit" m'a pas poussé jeune vers le rugby. Et bien évidemment je ne l'ai rencontré ni à l'école primaire, ni au collège.
Et les conséquences de ces différences de gabarit dans un sport de contacts
Suite au décès du jeune joueur d’Aurillac vendredi 10 août 2018, le professeur Chazal alerte et informe (depuis fort longtemps, voir à la suite). On peut lire dans cet article« « Pourquoi ne pas limiter le poids des joueurs ? Un poids maximum pour les avants, un autre pour les trois-quarts. À l’image de ce qui se fait en boxe. En rugby, un gars de 130 kg peut croiser la route d’un autre d’à peine 80 kg… » En Nouvelle-Zélande, pays de l’excellence ovale, il existe, lors de la formation des jeunes, des catégories de poids à l’intérieur des catégories d’âge.
Lire aussi son interview du 11 août 2018: Les rugbymen ont peur
Dans cet autre article Le professeur Chazal dit:
« On doit réintroduire la formation au rugby dans les écoles, les lycées ; reprendre toute la formation autour des plaquages ; refuser les collisions avec les joueurs qui ne sont pas porteurs du ballon. Les éducateurs, enfin, doivent être mieux formés. Là, il y a eu un choc à la tête. Ce n’est jamais anodin. »
Jean Chazal : « Le rugby fabrique des surhommes » 7/08/2018
France 3 régions Jean Chazal, neurochirurgien à Clermont-Ferrand : « Le rugby est devenu un sport de combat » 24/05/2018
On attend quoi, un mort sur le terrain? article de La Montagne (13-09-17)
"C'est fait " lire ici"
Le cas Antoine Dupont , de grands progrès pour la science : lire cet article de France Info pour mémoire
Mon article "Déni de la colère"
Quand Moscato parle de sport de combat!