Serge Collinet

Serge Collinet, je ne le connaissais pas "en détails" avant que je cherche à en savoir plus à la suite de son questionnement relayé sur le blog de Richard Escot.

Forcément cette découverte me ravit car son parcours de vie, son expérience professionnelle jamais très éloignée du monde du rugby  vient illustrer parfaitement ce que j'ai cherché à démontrer dans mon "dossier" du rugby enfin pour tous?

"Bref on ne manque ni d'experts, ni d'initiatives intéressantes, ni de compétences de terrain multiples."  

C'est sa fiche auteur chez Passiflore qui vient étayer l'obsession décrite dans mon texte

"la pratique massive et habituelle du rugby à l'école primaire. "

Je suppose que s'il choisit de faire figurer l'origine de sa passion devenue professionnelle dans cette fiche auteur, c'est qu'il estime que c'est cette première rencontre avec le jeu de rugby qui est déterminante: "Il découvre le rugby à neuf ans avec son instituteur, signe sa première licence ..."
Évidemment son instituteur de l'époque était entraineur au club de rugby, ça aide. Mais l'idée générale est là. Entraineur ou pas, l'enseignant a un rôle à jouer, et pas que tous les quatre ans à la faveur d'une coupe du monde en France ou dans un pays lointain.
Florian Grill a bien raison de faire feu de tout bois (vu son nom😀) ces dernières semaines et quelques mois restant avant les JO, car il y a une "fenêtre de tir" pour réintroduire de manière "massive" le rugby le rugby (à 5)  dans les établissements scolaires en France, à commencer par l'école primaire, bien entendu.

Ensuite la découverte, toujours dans cette fiche auteur (mais aussi de sa fiche LinkedIn) de son parcours, de ses engagements professionnels vient illustrer ce que j'écris.


Je me suis fait offrir son dernier livre, et son premier chapitre, "Le rugby, école de la vie" est disponible dans cet article qu'il a publié.
Mais c'est dans son livre précédent  qu'il avait imaginé un paragraphe, qu'il décrit comme prémonitoire : lire ici son post sur linkedin "la boule de muscle saute pour contrer.. Il n'est pas grand mais il va haut. Stupeur! Léo est contré..."