Renault Histoire n° 40 - Octobre 2017

La plupart des entreprises ont un ou des marqueurs historiques. Plus que dans d’autres secteurs d’activité, celaest vrai dans l’automobile : pour FIAT, c‘est Turin et l’usine du Lingotto ; pour Ford, on cite Dearborn et l’usine de “Rouge” ; Volkswagen, c’est encore Wolfsburg, etc. Quand pour des raisons techniques, économiques, urbanistiques, il faut rompre ce lien, les problèmes sont souvent plus culturels que pratiques. Renault, aujourd’hui au centre d’une Alliance au niveau d’un premier constructeur mondial, dut affronter, il y a 25 ans, la fermeture du site emblématique de l’île Seguin à Billancourt : c’est le sujet de l’article de tête de ce numéro de Renault Histoire.

Vous découvrirez aussi parmi les seize articles publiés :
- Comment Renault a abordé, dans les années 1970, la question de la protection des occupants de véhicules en cas de choc : voiture “tank” ou structures déformables + cellule de survie ?
- L’évolution de la division Renault Moteurs vers une diversification un peu « tous azimuts ».
- Qui était Jacques Pomey, ingénieur Renault et académicien, premier article d’une série sur des personnalités un peu oubliées de l’entreprise.

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