Notre projet de visite touristique sur le Bénin vise à offrir aux voyageurs une expérience immersive à travers la richesse de son patrimoine culturel et naturel. Pendant cette visite, les participants auront l'opportunité de découvrir les trésors cachés du pays, d'explorer ses sites historiques, de se familiariser avec sa culture vibrante et de profiter de sa beauté naturelle.
L'objectif de ce projet de visite touristique sur le Bénin est de promouvoir la richesse du patrimoine culturel et naturel du pays, tout en favorisant un tourisme responsable et durable. Voici quelques objectifs spécifiques :
Promouvoir le patrimoine culturel : Permettre aux voyageurs de découvrir les traditions, les coutumes et les pratiques culturelles du Bénin à travers des visites de sites historiques, des rencontres avec la population locale et des participations à des événements culturels.
Sensibiliser à l'histoire du Bénin : En visitant des sites tels que le musée de la Route des Esclaves à Ouidah et le musée d'Abomey, les participants pourront mieux comprendre l'histoire du pays, y compris son passé lié à la traite négrière et à la royauté béninoise.
Promouvoir la préservation de la nature : En incluant des visites de parcs nationaux tels que le parc national de la Pendjari, le projet vise à sensibiliser à la conservation de la faune et de la flore du Bénin, ainsi qu'à soutenir les efforts de préservation.
Encourager le tourisme responsable : En collaborant avec des guides locaux et des communautés locales, le projet favorisera un tourisme respectueux de l'environnement et des cultures locales, contribuant ainsi au développement économique des communautés visitées.
Offrir une expérience enrichissante aux participants : Le projet vise à offrir une expérience immersive et authentique, permettant aux voyageurs de vivre des moments uniques, de créer des liens avec les habitants et de repartir avec des souvenirs inoubliables.
En mettant en œuvre ce projet, nous espérons non seulement attirer des voyageurs avides de découvrir le Bénin, mais aussi contribuer au développement durable du tourisme dans le pays, en préservant son patrimoine et en bénéficiant aux communautés locales.
Vous êtes à la recherche d'une destination hors des sentiers battus, riche en culture, en nature et en rencontres inoubliables ? Ne cherchez plus ! Le Bénin est l'endroit idéal pour vivre une expérience de voyage unique.
Nous vous invitons à découvrir le Bénin, un pays regorgeant de trésors culturels et naturels qui vous laisseront des souvenirs impérissables. Que vous soyez passionné d'histoire, amoureux de la nature ou curieux des traditions locales, le Bénin a tout ce qu'il faut pour combler vos attentes.
En collaborant avec AHOSSI TRAVEL & TOUR, vous bénéficierez d'un accompagnement personnalisé pour organiser votre voyage sur mesure. Nous sommes des experts locaux passionnés par notre pays et nous nous engageons à vous offrir une expérience de voyage unique et inoubliable.
Que vous souhaitiez explorer les ruelles animées de Cotonou, découvrir les vestiges de l'époque coloniale à Ouidah, partir à l'aventure dans les parcs nationaux à la recherche de la faune sauvage ou plonger au cœur des traditions vaudou, nous concevrons un itinéraire sur mesure qui répondra à toutes vos envies.
En choisissant de visiter le Bénin avec AHOSSI TRAVEL & TOUR, vous découvrirez une culture vibrante, des paysages époustouflants et une hospitalité chaleureuse. Nos guides expérimentés vous feront vivre des expériences uniques, en vous faisant rencontrer des artisans locaux, en vous emmenant à la découverte des marchés animés et en vous plongeant au cœur des traditions et des coutumes béninoises.
N'attendez plus, embarquez pour une aventure extraordinaire au Bénin en nous contactant dès maintenant. Nous serons ravis de vous aider à planifier votre voyage et de répondre à toutes vos questions. Le Bénin vous attend, prêt à vous dévoiler tous ses trésors cachés.
Située au sud du Bénin, à 209 km de Cotonou, la ville de Dassa est réputée pour abriter la grotte Notre– Dame d'Arigbo. Une grotte dédiée à la Vierge Marie. Elle est aussi connue pour ses 41 collines, ses lieux sacrés et ses magnifiques palais datant de l'époque de la royauté faisant d'elle l'une des villes les plus attractives du pays.
Autrefois, la ville de Dassa était connue sous l'appellation d'Idaasha. Selon l'histoire, ses fondateurs seraient venus du Nigeria vers le début du XIIe siècle. En effet, la ville aurait été fondée par des migrants de diverses origines justes après l'effondrement de l'empire d'Oyo. Ces derniers, menés par le prince Oládégbò s'installèrent sous les pieds des collines de la cité afin de rejoindre les premiers Yorubas, un peuple déjà présent sur les lieux bien avant notre ère. Depuis lors, les deux tribus fondèrent le royaume d'Igbó Ìdàáshà. Un royaume dont le prince Oládégbò lui-même était le souverain.
Une autre légende relate l'histoire d'une ville issue du nom de la fille du souverain Olófin, Daïssa. D'autres récits affirment que la ville tire son nom d'une cité nommée « Orisha » qui signifie « Dieu », de l'expression « Ida » qui symbolise « la créature » et du vocable « Igbo » qui décrit « la forêt ». La combinaison de ces termes forme « Igbó Ìdàáshà », dont la signification est : la créature de Dieu dans la forêt. D'après les spécialistes, cette seconde hypothèse est plus vraisemblable, car elle est rattachée directement au dialecte et à la croyance de ces peuples autochtones.
Depuis sa création, le royaume s'étendait du fleuve Zou jusqu'à Ofè de l'autre côté de la rive Ouémé. De nombreuses familles venant du sud du royaume Aja s'y installèrent après l'arrivée des Jagu. Mais ce n'est qu'au XVIIIe siècle qu'Igbó Ìdàáshà fut reconnu définitivement comme village.
Ensuite, à partir du XIXe siècle, la ville fut dirigée par le roi Adjiki Zomahoun, dont la réputation fut souillée à cause d'une rumeur. En effet, ce dernier fut accusé d'avoir effectué un traité visant à placer la ville Dassa sous l'autorité française.
Puis, dans les années 20, des missionnaires occidentaux débarquèrent dans la cité. L'arrivée de ces prêcheurs de la bonne parole influença grandement les traditions et les langues de certainestribus, en particulier des Fon.
La plupart des voyageurs choisissent de se rendre à Dassa pour ses nombreux vestiges historiques. Parmi eux figurent le palais royal des 41 collines, le site naturel de la pierre fendue, ou encore la grotte de la vierge Marie.
Durant votre séjour, prenez le temps de visiter le palais royal des 41 collines, un édifice qui a bien su garder l'histoire de son passé pour les générations futures. En effet, c'était dans ce palais que vivait le souverain Olófin pendant son règne de 1385 à 1425. Il a fait construire cette somptueuse résidence afin de matérialiser le siège du pouvoir de la dynastie des Djagun, les branches royales de Dassa. Avant l'arrivée des colons français en 1894, le trône connaissait toutefois 23 monarques parmi lesquels il y avait deux reines dont Djagun Oyoro et Djagun Alamon.
Après la visite du palais, cap vers le site naturel de la pierre fendue. Celui-ci se trouve juste au-dessus du palais. Pour information, c'est un gigantesque roché fendu en deux, appelé Okèyté et qui surplombe la vallée. Les touristes ont toujours tendance à grimper en haut du site dans le but de profiter d'une vue panoramique de l'agglomération toute entière. Notons que la présence d'un guide est obligatoire pour accéder à ces collines bosselées.
Après l'escalade sur l'étendu roché fendu, partez à la découverte des 41 collines de Dassa-Zoumé. Bien évidemment, il compte d'innombrables collines sur le lieu, mais ce chiffre est d'une valeur particulièrement symbolique, très religieuse. Ce sont en général des magnifiques massifs rocheux au relief montagneux. C'est l'endroit où sont pratiqués les rituels vaudou. Du coup, il faut bien faire attention à ne pas profaner l'espace sacré. Mais n'ayez crainte, un guide sera à votre disposition pour toutes les instructions.
Pour boucler le circuit touristique, plongez au cœur de la religion chrétienne en visitant la grotte Notre – Dame d'Arigbo. Cet endroit qui ressemble étrangement au site de Notre Dame de Lourdes a été choisi pour la dévotion à la vierge Marie et pour soulager les peines des nombreux pèlerins qui ne peuvent pas se rendre chaque année à Lourdes en France. Dès lors, l'endroit est devenu un sanctuaire marial. Chaque année, à mi-aout, un pèlerinage est organisé au pied la grotte. Un événement accueillant de nombreux pèlerins venant des pays voisins.
Dassa jouit d'un climat subéquatorial. C'est une ville où les précipitations sont plus importantes en été qu'elles ne le sont pas en hiver. La température moyenne annuelle est de 27.2°C. Le meilleur moment pour s'y rendre est entre le mois de novembre et de décembre, janvier, fevrier.
Pour rejoindre la ville de Dassa, l'idéal, c'est de prendre un vol pour Cotonou pour ensuite se déplacer en voiture jusqu'à destination. La bourgade est, en effet, reliée par voies routières avec d'autres villes comme Bohicon, Allada, Cotonou, etc.
Dassa propose divers moyens de transport pour se déplacer en ville notamment le bus, le taxi et le taxi-moto (Zémidjan). Le bus est efficace pour les déplacements hors de la ville. Le taxi offre un confort exceptionnel aux passagers et le taxi-moto est très pratique pour une petite balade au centre-ville.
• Visiter le palais royal des 41 collines
• Explorer le site naturel de la pierre fendue
• Parcourir les 41 collines de Dassa, des massifs rocheux sanctuaires du vaudou
• Aller voir la grotte Notre – Dame d'Arigbo
• Aller voir le lion couché de Minifi
Ouidah est reconnue comme un ancien centre de vente et d'embarquement d'esclaves. Cet endroit est maintenant devenu la ville historique préférée des visiteurs. La cité a formellement su garder des vestiges inoubliables du commerce négrier tout en gardant sa tradition de culte vaudou. Sur ce, Ouidah demeure un lieu attractif suggérant une multitude de sites et d'activités aux amoureux de la culture noire africaine.
Dans le passé, la ville de Ouidah connue sous le nom de « Fort portugais », a subi une histoire avérée très douloureuse. En effet, la cité a été fondée en 1721 en tant que fort. Elle était dirigée par un dignitaire portugais, le yavoghan (chef blanc) João Baptista de Ajudá. Difficile d'y croire qu'à cette époque lointaine, la commune de Ouidah servait comme l'un des fournisseurs d'esclaves vers les pays occidentaux du monde entier. Toutefois, le devoir d'accomplir et de garantir le marché d'esclaves dans ce lieu était confié à João Baptista par ordre du roi du Portugal. Par conséquent, le chef blanc géra toutes les relations commerciales entre le royaume d'Abomey et les marchands d'esclaves européens. Après des années de trafic d'esclaves, plusieurs millions d'Africains noirs furent exilés lebiais de la traite négrière. Un acte accompli entre les rois d'Abomey et les organismes occidentaux : les Amériques, le Portugal, le Danemark, la France, etc. Tactiquement, le fort était fortement isolé du royaume d'Abomey (L'actuel Bénin) dans le seul but de garantir le monopole du roi du Portugal. Quelques années plus tard, sous l'autorité du roi Agadja (5e roi d'Abomey), la traite négrière fut devenue un devoir imposé du roi du Portugal. La ville de Ouidah fut donc créée dans une agonie qui dura pendant au moins un siècle. Certaines populations sont encore en discorde avec d'autres ethnies du pays, seulement à cause de la conspiration organisée par les rois d'Abomey.
Connue comme l'ancien fort portugais, la ville de Ouidah gagne aujourd'hui en popularité grâce aux vestiges laissés par les négriers. Tous les forts occidentaux (danois, français, portugais) et l'enclos d'esclaves du comptoir anglais y sont encore actuellement. Même si Ouidah est victime d'un passé atroce cette histoire la qualifie parmi les villes béninoises les plus riches en matière de récits historiques. Ces malheureuses anecdotes ont beaucoup éveillé la curiosité des touristes du monde entier. De ce fait, de nombreux touristes y viennent chaque année pour découvrir les traces laissées par les marchands d'esclaves. Outre l'histoire mélancolique de la ville, Ouidah est aussi reconnue pour ses magnifiques monuments historiques tels que : le temple des pythons, le musée d'art contemporain Fondation Zinsou, la forêt sacrée de Kpassè et la route de l'esclave.
Pour les passionnés de la culture noire africaine, Ouidah est un choix idéal comme destination. Plongez-vous au cœur de la religion vaudou en faisant une petite escapade dans le temple des pythons. En effet, c'est un lieu sacré pour les adeptes de vaudou, et qui est considéré comme le monument phare de la cité. D'après la légende, il y avait un roi qui préférait de vivre au Glexué (maison des champs). Celui-ci bénéficiait de la présence d'un python, qui par conséquent, préservait sa plantation en mangeant les rongeurs se trouvant aux alentours. Depuis lors, le python devient le symbole et à la fois l'animal protecteur de la cité. C'est pourquoi les habitants y consacrent un culte tous les cinq jours en faisant appel à sa divinité.
Après le passage dans le temple des pythons, tout droit au musée d'art contemporain Fondation Zinsou. Le site pour découvrir les ouvrages socioculturels de la ville. En effet, cette galerie d'art contemporain est particulièrement dédiée à la culture noire africaine. Ses actions se concentrent éventuellement sur les œuvres artistiques, culturelles et sociales de la race noire. Sur le lieu, vous découvrez une concentration d'œuvres d'artistes africains comme : Cyprien Tokoudagba, George Lilanga, Frédéric Bruly-Bouabré, Samuel Fosso, etc.
Outre ce musée d'art contemporain, il y a également la forêt sacrée de Kpassè, l'un des patrimoines les mieux conservés du Bénin. Selon les pratiquants du vaudou, ce lieu renferme beaucoup de mystère et de légende sur le roi Kpassè. L'histoire raconte qu'il s'est réincarné en arbre enchanté juste après sa mort. Depuis, le paysage attire d'innombrables visiteurs les plus curieux.
Si vous êtes un passionné d'architecture et de la religion apostolique romaine, autant allé visiter La Basilique de l'Immaculée-Conception. Certainement, c'est le premier sanctuaire catholique de Ouidah. Il a été construit en 1903 à l'initiative du Monseigneur français Louis Dartois. Terminer votre périple en passant la route des esclaves qui retrace le parcours des esclaves avant l'embarque jusqu'à la porte du non retour.
Du point de vue général, le climat de la ville de Ouidah est typiquement tropical. Dans la majorité du temps, les températures de la ville sont agréables. Les températures moyennes s'échelonnent de 28°C en juillet et 32°C en février. Concernant les températures de la mer, elles sont plutôt agréables variant entre 24°C - 29°C. Les meilleures conditions pour y voyager c'est dans les trois premiers mois (janvier, février, mars) ou dans les deux derniers mois (novembre, décembre).
Pour se rendre dans la ville de Ouidah, l'idéal, c'est de prendre un taxi-brousse, un moyen de transport très utilisé des habitants. Mais pour les voyageurs venant de l'extérieur de l'Afrique (pays occidentaux), le mieux c'est de prendre un avion à destination Cotonou. Depuis Cotonou, ces derniers peuvent s'emparer tranquillement d'un taxi-brousse menant directement dans la cité.
La ville de Ouidah est en effet une petite ville par rapport aux autres grandes villes béninoises. Du coup, le déplacement ne pose pas trop de problèmes dans la cité. Pour visiter les sites touristiques, vous pouvez opter pour un taxi, un bus ou une motocyclette, (Zém) en langue locale. Ou encore vous pouvez louer une voiture afin de vous mettre encore plus à l'aise, le choix vous appartient.
Visiter le temple des pythons, un sanctuaire dédié à la religion vaudou
Explorer le musée socioculturel d'art contemporain Fondation Zinsou
Effectuer une escapade dans la forêt sacrée de Kpassè.
Jeter un coup d'œil sur le monument « la porte du non-retour »
Découvrir la magnifique architecture de La Basilique de l'Immaculée-Conception