Gaïa, l’abeille et nous

Elles ont su former une société solidaire, sociale et écologique. 35 à 40% de notre alimentation dépend d’elles.

En disparaissant, la vengeance de Gaïa sera terrible et déjà les cotons-tige chinois et les drones américains sont l’image dérisoire de ceux qui croient toujours pouvoir trouver une solution technique à la rupture d’un équilibre du vivant qui a mis 3,8 milliards d’années à constituer le merveilleux désordre de la vie.

Par l’étude de l’abeille, le Docteur Romain Gire, pédiatre et apiculteur, nous permet de comprendre et de réagir. Alors que “l’homo économicus” marchande son miel, le sage l’observe comme un hymne à la vie.

Mercredi 28 janvier 2015

à 19h45