RUNNING
Parce que je suis moi aussi coureur, je suis à même de comprendre vos problèmes et de les traiter.
Pour les coureurs en pleine préparation ou à quelques jours d'une épreuve,me préciser que vous êtes coureur, suivant mes possibilités, vous aurez un rendez-vous plus rapidement.
INDICATIONS DE L'OSTEOPATHIE CHEZ LE COUREUR / BLESSURES DU COUREUR
douleurs du dos (cervicalgie, dorsalgie,lombalgie, sciatalgie, sciatique, cruralgie, contractures du muscle pyramidal, douleur de coccyx...), tendinites des adducteurs, des fessiers, pubalgies, douleurs thoracique, essoufflements anormaux, maux de tete, bursites de hanche, hanches à ressaut, crampes des ischio-jambiers, du quadriceps du mollet, claquages, periostite (ex jambier antérieur...), syndrome de l essui-glace, tendinite de la patte d'oie, rotulienne, du biceps fémoral/tete du péroné, tendinite d'Achille, entorses de la cheville, du genou, crampes et douleur de l'aponévrose plantaire, métatarsalgies...etc
La santé par la course
Certaines études ont démontré que l’activité physique diminuait l’incidence de la maladie d’Alzheimer de 50%, le cancer du côlon de 60%... et le risque de décès (en général) de 63%...
Technique de course efficace (coût énergétique minimal).
Appui sous le centre de gravité, pose du pied « sur le milieu du pied » et en inversion, temps de contact au sol plus court, moins de déplacement vertical, moins de travail musculaire inutile , fréquence des pas librement choisis.
Coureur pied nus
Le coureur régulier pieds nus développe une course sécuritaire et efficace.
L adaptation à la course pieds nus doit être progressive: 200m la 1ère fois , 200M la 2ième puis on augmente de +200m par semaine ( + 400m et/ou + de séance par semaine suivant tolérance) jusqu'à attendre 20 minutes.
80% des causes de blessures chez le coureur sont liées à un stress tissulaire trop important(), 20% (fragilité des tissus, dysfonction musculaire, vice biomécanique), 20% (chaussures, semelle,surface de course)
Fréquence de course à 180 pas par minute
Cela permet de diminuer le temps de contact,le déplacement vertical, le travail musculaire et la force d'impact.
Surface de course
La surface dure n'augmente pas la force d'impact (mais peut créer plus de stress sur le pied si celui ci n est pas préalablement adapté)
L'absorption de la chaussure
Elle ne diminue pas la force d'impact et diminue notre comportement naturel d'adaptation. (l'homme a passé plus de temps pied nu qu' avec des chaussures. Si celles si étaient indispensables, l 'espèce humaine aurait disparue ( « homme de cro magnon mangé par l'ours car il ne peut pas courir vite et longtemps pour fuir......à cause de sa tendinite, de son aponévrosite plantaire...etc parce qu'il n'a pas de chaussures amortissantes le protégeant des blessures)
Chaussures de course
Il est souhaitable de changer ses chaussures de course progressivement lorsqu’elles deviennent un facteur d’exacerbation d’un vice biomécanique (déformation ou usure de la semelle). Le transfert entre les vieilles et les nouvelles chaussures devra se faire progressivement. Le coureur peut d’abord marcher 2 jours dans la maison pour les former à son pied. Ensuite, il les intègre progressivement à ses entraînements (2 petits entraînements la première semaine, 3 la deuxième, 4 la troisième, etc).
La modération de votre programme d'entrainement
Pour éviter les blessures il faut augmenter le stress mécanique lors des « petites » semaines et diminuer ce stress lors des « grosses » semaines.
On augmente le VOLUME de 10% max et l'INTENSITE de 3% max par semaine.
Poursuite d'une activité alors d'une blessure
Lorsque blessé, le repos complet est rarement le meilleur traitement, dans le but de conserver ses qualités cardio-vasculaires et d’accélérer le processus de guérison par une bonne vascularisation de ses structures blessées, le coureur devrait pratiquer une activité de remplacement aussitôt que possible. Cette activité (vélo, aqua-jogging, natation, etc.) permettra de travailler son coeur sans contribuer à l’aggravation de sa blessure. En bref, du cardio sans douleur.
Surentraînement
Un coureur qui augmente son entraînement et qui présente des symptômes comme : diminution des performances, infections plus fréquentes, fatigue générale, perte de poids et d’appétit, baisse de libido, maux de tête, qualité de sommeil perturbée, douleurs persistantes… est peut-être en surentraînement. Être prudent! Quelques jours de repos feront du bien. Si les symptômes persistent, il faut consulter!
Un conseil, surveillez votre rythme cardiaque du matin, s il y a une différence de 6/10 pulsations/minute par rapport à votre fréquence cardiaque au repos, c 'est qu'il y a un souci.
Qualité de sommeil
L’activité physique régulière améliorera la qualité du sommeil. À l’inverse, une activité intense juste avant d’aller au lit peut empêcher de s’endormir.
Anti-inflammatoires
Les anti-inflammatoires inhibent les processus naturels de réparation et par conséquent, rendent les tissus plus fragiles. Éviter de prendre ce type de médication, même en vente libre (Advil, Motrin, Ibuprofene), sans une recommandation appropriée d’un professionnel de la santé spécialisé.
AMPOULE PHLYCTENE : CREMES,TANNAGE DE LA PEAU, PANSEMENT
COURIR EN HIVER : C'est le moment d'aller courir
- Une heure de course à pied brûle jusqu'à 890 kilocalories ! En effet, un homme de 70kg courant le km en 5 minutes dépensera environ 890 kilocalories.
- En plus de l'exercice physique, le corps doit lutter contre le froid ce qui augmentera la dépense énergétique.
- Des chercheurs américains ont découvert qu'une séance hivernale permet de brûler +12 % de calories et +32 % de graisse que la même séance par temps chaud.
Quelques SITES
athlete endurance « Plan d’entrainement marathon http://www.athlete-endurance.com/training-network/preparation-programme/le-marathon/plan-entrainement-marathon.html avec Athlete-endurance.com »