Qui sommes-nous ?

L'association pour la Connaissance et l'Étude des Mégalithes (ACEM) a été crée dans le Morbihan en Avril 2008. Elle a pour but de faciliter la prise de conscience de la présence des vestiges de la première civilisation de l'histoire et d'en comprendre la signification. 

Afin de poursuivre ses buts, l'ACEM organise des conférences, des sorties sur sites, des séances d'observation du soleil et de la lune, à des moments clés de l'année (solstices et équinoxes) et également lors des éclipses.

Elle poursuit un travail de recherche sur le terrain, en faisant des relevés précis des sites mégalithiques. Pour cela elle utilise un GPS haute précision, des théodolites, des lasers mètres. Mais aussi une corde à douze nœuds... L'ACEM étudie également le domaine des énergies de la terre et leur éventuelle relation avec les sites mégalithiques. Elle organise également des expéditions de recherche et de découverte de mégalithes dans d'autres régions et pays. 

L'ACEM invite des conférenciers internationaux, tous traduit en français, et dont certains exposent leurs idées pour la première fois en France. L'ACEM œuvre pour la reconnaissance du travail de Félix Gaillard (1832-1910) archéologue et photographe des mégalithes, qui pour la première fois a suggéré l'existence de l'archéo-astronomie. 

Ainsi en 2010, l'exposition pour le centenaire de sa mort a abouti à l'inauguration du jardin Félix Gaillard à Plouharnel. 

Chaque année depuis 2007, l'ACEM organise un événement culturel  « Solstice d'été à Plouharnel » en collaboration avec l'office de tourisme. En 2009, à 6h du matin, plus de 200 personnes ont assisté à un magnifique lever du soleil le long de la diagonale du quadrilatère de Crucuno, monument mégalithique exceptionnel à Plouharnel. 

C'est cette motivation d'approfondissement et de transmission des principes de construction des mégalithes qui anime les membres de l'ACEM. L'apparence brute des mégalithes voilent aux néophytes la finesse extrême de ces premiers ouvrages d'architecture, car le bâtisseur des mégalithes ajoute sa note sans détruire l'harmonie naturelle du lieu. C'est bien cette symphonie initiale qu'il s'agit de reconstruire.