Documents 2024
Concerts 2024
Première partie
Félix Mendelssohn (1809 – 1847) Verleih uns Frieden
Ludwig van Beethoven (1770-1827) Jesu dulcis memoria
Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)
Ave verum
La Messe Brève KV 65
Deuxième partie
Florilège de Gioacchino ROSSINI (1792-1868)
Kyrie (extrait de la petite messe solennelle en Sol)
Ave Maria
Salve regina
O Salutaris hostia
Quel jour serein (extrait de l’opéra Guillaume Tell)
Quartetto pastorale
Extraits du concert de Grabels - 21 avril 2024
CD complet à commander à Jean-Claude
Première partie
Verleih uns Frieden gnädiglich (Félix Mendelssohn )
Jesu dulcis memoria (Ludwig van Beethoven)
Ave verum (Mozart)
Messe bève (Mozart)
Orgue
- MOZART : Andante pour un petit orgue mécanique K 616
- ROSSINI : Gran Sinfonia dall’ Opera “Tancredi”.
Deuxième partie (Rossini)
Kyrie (extrait de la petite messe solennelle en Sol)
Quel jour serein (extrait de l’opéra Guillaume Tell)
Détail des oeuvres
Félix Mendelssohn (1809 – 1847)
Verleih uns Frieden
Verleih uns Frieden gnädiglich,
Herr,Gott,zu unsern Zeiten!
Es ist doch ja kein andrer nicht,
der für uns könnte streiten,
denn du, unser Gott,alleine!
Donne-nous la paix dans ta grande bonté,
Seigneur, tant que nous vivons!
Personne d'autre
Ne se pourrait battre pour nous
Que toi seul, notre Dieu.
Ludwig van Beethoven (1770-1827) Jesu dulcis memoria
Jesu dulcis memoria, Dans vera cordis gaudia:
Sed super mel et omnia
Ejus dulcis præsentia. Nil canitur suavius,
Nil auditur jucundius, Nil cogitatur dulcius, Quam Jesus Dei filius.
Jesu spes pænitentibus, Quam pius es petentibus!
Quam bonus te quærentibus! Sed quid invenientibus?
Nec lingua valet dicere, Nec littera exprimere:
Expertus potest credere, Quid sit Jesum diligere.
Sis Jesu nostrum gaudium, Qui es futurus præmium
Sit nostra in te gloria, Per cuncta semper sæcula.
Jésus doux souvenir, Donnant de vraies joies au cœur,
Mais aussi le miel et toutes les choses,
Pleines de ta douce présence. Aucun chant plus suave
Aucun son plus agréable,Aucune pensée plus douce, Que Jésus Fils de Dieu
Jésus espoir pour les pénitents,Comme tu es bienveillant pour ceux qui te réclament,
Comme tu es bon pour ceux qui te réclament, Mais quoi pour ceux qui te trouvent.
Aucun langage ne peut dire, Ni aucun mot exprimer:
Seul celui qui a éprouvé peut croire, Ce que c’est d’aimer Jésus..
Que Jésus soit notre joie, Toi qui es la récompense à venir,
Que notre gloire soit en toi, Pour des siècles et des siècles.
Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)
ave verum
Ave verum Corpus natum de Maria Virgine
Vere passum, immolatum in cruce pro homine
Cuius latus perforatum fluxit aqua et sanguine
Esto nobis prægustatum mortis in examine
Salut, vrai Corps né de la Vierge Marie,
Qui as vraiment souffert, immolé sur la croix pour l'homme.
Toi dont le côté percé laissa couler de l'eau et du sang,
sois notre viatique à l'heure de la mort.
Florilège de Gioacchino ROSSINI (1792-1868)
« O salutaris Hostia, quae caeli pandis ostium, bella premunt hostilia, da robur, fer auxilium. »
« Ô réconfortante Hostie, qui nous ouvre les portes du ciel, les armées ennemies nous poursuivent, donne-nous la force, porte-nous secours. »
Salve
Salve O Vergine Maria,
Salve O Madre in ciel Regina;
Sulla terra il guardo inchina,
de’ tuoi figli abbi pieta.
Tu di sol tutta vestita,
tu di stelle incoronata,
tu speranza,
Tu avvocata, del tuo popolo fedel.
Salve!
Je vous salue, Vierge Marie,
Je vous salue, Mère du ciel, Reine ;
Sur terre je m'incline,
ayez pitié de vos enfants.
Vous êtes toute habillée de soleil,
vous êtes couronnée d'étoiles,
vous êtes l'espoir,
Vous défendez votre peuple fidèle.
Je vous salue !
Quartetto pastorale
L’Asia in faville è volta, Combattono i possenti
Sol fra pastori e armenti Discordia entrar non sà
O care selve, Stanze di libertà ! Non fia
che ferro ostile Brillar fra noi si vida Che
non alletta e preda La nostra povertà.
L’Asie est en proie aux flammes, Les puissants se combattent.
Il n’y a qu’entre pasteurs et troupeaux Que la discorde ne peut entrer.
O chères forêts, Pays de la liberté ! Jamais un
fer hostile On ne verra briller parmi nous
Car notre pauvreté N’attire pas le pillage.