RESEAU D'ENTRAIDE POUR L'ARIEGE
* Affinités, confiance, complicité ? compétence ? car les bénéfices s’en ressentent.
* Beaucoup de dialogue.
* Une écoute attentive.
* Un respect mutuel.
* La compréhension de sa ou de ses pathologies.
* Comment créer cette bonne relation ou ce « lien » soigné/soignant.
* Être à l’aise avec la personne.
* Si elle ou il vous dit « non », c’est non !
* Ça ne doit pas évidemment être le « je vous aime ».
* Un ami qui ne juge pas.
* Ne pas être trahie.
* Ne pas dépasser ses limites.
* Confidentialité médicale absolue.
* Être à l’écoute réciproque.
* Être au rendez-vous qu’il nous fixe et être à l’heure si possible.
* Je peux considérer ici que le groupe est « soignant ».
* La confiance donnée, si la confiance est trahie, ça peut faire beaucoup de mal.
* Pouvoir dire : « éventuellement je ne viendrai plus vous voir parce que vous n’écoutez pas ».
* Quelqu’un avec qui on a passé un contrat.
* Quelqu’un qui s’adapte, qui colle à ce que vous voulez.
* J’ai fait totalement confiance.
* Ne pas mentir surtout parce qu’ils ne sont pas bêtes.
* Pour moi, les soignants ça part de l’ASH jusqu’au professeur !
* Personne de confiance qui n’est pas un ami et à qui on ne ment pas.
* Une personne neutre.
* Être sincère, totalement franche, bien dire ce qu’on ressent.
* Le personnel soignant, pour moi il donne de l’assurance.
* Moins je vois le toubib mieux je me porte !
* Tout sauf un ami, qu’on soit tus les deux dans la distance.
* Le dépositaire de mon assurance,
* J’en attends de la réassurance, qu’il me rappelle que je tiens la route et que je fais du chemin etc…etc…
* Une figure symbolique qui est intégrée à nous.
* Être humble, parler d’égal à égal.
* Mettre à disposition ses compétences (pour le soignant) et pouvoir livrer de choses importantes pour nous (pour le patient).
* Notion de se sentir respecté, écouté, entendu….La confiance commence à s’installer.
* Le fait que le patient s’intéresse à sa maladie, qu’il me pose des questions sur son parcours, on sent que le regard du soignant change sur nous.
* Ne pas se sentir jugé.
* Avoir des réponses à ses questions. Sinon on peut penser soit il ne sait pas soit il n’ose pas et ça c’est embêtant !
* On n’est pas que des « pathologues » sur pattes.
* Oui un rapport d’égal à égal.
* Le soignant doit faire attention à la manière dont il accueille.
* Pour les soignants ça ne doit pas être très facile !
* De toute façon, c’est un humain comme toi.
* Quand on est en souffrance, on a besoin de réponses, on sait que quelqu’un peut nous aider à ce moment-là.
* Pour notre part, à nous aussi, on peut se sentir déçu ou trahi !
* A nous de poser nos demandes.
* Être sous-traité en Benzodiazépines.
* On a notre ressenti, notre parcours, on a rencontré pas mal de monde et de soignants.
* Les médecins voient des gens malades toute la journée, ne pas oublier cela !
* Un profond respect réciproque.
* Pas évident de gérer la détresse du monde.
* Les relations soignant/soigné qui viennent toucher quelque chose en nous soignants.
* Surtout pas nous faire la morale, se référer à une sorte de « normalité ».
* Une espèce de faux « bon sens » ce qui n’est pas forcément ma référence.
* Pas de réquisitoire ici, non ! Jouer le jeu des deux côtés.
* Des gens réagissent comme ça, par exemple par l’automédication, c’est justement parce qu’ils n’ont pas confiance en leur médecin.
* Il y a de la prise de pouvoir aussi, parfois, de la part de certains infirmiers.
* Je pensais me sentir tendu comme si on m’avait grugé : comment ça se fait que je n’ai pas ma dose ?
* C’est à notre schéma mental de l’époque.
* Il faut toujours une grande compétence. Une longue expérience (on y est pour rien).
* C’est un métier qu’on a intérêt à faire bien sinon on serait en difficulté et on n’a pas envie de l’être !
* Pas évident de gérer la distance au monde, être soignant c’est aussi un « gagne-pain ».
* Tel spécialiste n’a pas le temps ou ne prend pas le temps…Il faut le faire expliquer par l’infirmière !
* Si on y va de son propre chef, c’est pas pareil, ça change tout !
* A la décharge de certains médecins : il y a une partie de la population qui ne s’intéresse pas à ce qu’elle a.
* Communication, empathie, tout cela soigne plus qu’un médicament !
* Si on a bien parlé, on se sent bien après !
* La première chose que je demande à un soignant c’est d’être compétent, bienveillant, en empathie, respectueux doux et gentil aussi ! Pas speed et pas dérangé toutes les trois secondes, pas de dépassement d’honoraires non plus !
* Ne pas être infantilisé ni puni !
* Pouvoir se confier à une blouse de n’importe quelle couleur !
* Moi, je ne leur fais pas confiance d’emblée…
* Parfois c’est les patients qui nous aident le plus.
* Ici c’est l’espace détente.
* On peut dire ce qu’on veut, on n’est pas jugé !
* C’est le suivi qui peut créer une bonne relation comme le suivi du groupe.
* Faut qu’on soit patient, attendre de tomber sur le bon.
* Les infirmiers m’ont dit « il faut du courage ! » puis « bon courage pour la santé ». Impact positif d’une parole bienveillante.
* Écouter les gens : ils ne sont pas des idiots, si tu ne les écoutes pas tant pis pour toi !
* Quand on se sent en confiance avec le soignant, ça donne une autre efficacité.
* Être d’égal à égal.
* C’est vous qui connaissez votre histoire !
* Le patient est acteur de son propre soin.
* Le soignant doit se réajuster à chaque personne, surtout ne jamais faire de généralisation.
* Il y a des temps de supervision indispensables pour nous les soignants !
* Certains soignants seraient surpris de voir celui que je suis devenu !
Fin