Notre affectif: comment bien s'en occuper ? 20 octobre 2017

20 Octobre 2017

Notre affectif : comment bien s’en occuper ?

- Le fait de faire confiance, de croire sur parole, c’est une sorte de piège qu’on se fabrique…

- Je ne me suis pas assez occupée de moi !

- Le fait d’être un peu trop sociable m’a amenée quelques déboires ! J’ai aidé une personne et ensuite j’ai attendu qu’elle m’aide et rien n’est venu….

- Une méthode d’affirmation de soi donnée en clinique m’a beaucoup aidée !

- Je me suis endurcie mais pas assez !

- Je me fais encore avoir mais je rebondis assez vite, je me retire plus vite.

- Il faut faire attention à ne pas trop s’investir dans une demande affective.

- Dans l’alcool les relations familiales sont souvent dégradées, les relations sont dégradées et on ne fait plus rien…

- On se sentait intelligent alors qu’on était complètement nul !

- Je suis sorti de là (hospitalisation puis postcure), sur le plan affectif c’est impeccable maintenant par rapport à la période « alcool ».

- Deux groupes de parole au CHIVA…

- La consommation d’alcool a un effet désinhibiteur qui permet de se sentir beaucoup mieux !

- On se désociabilise peu à peu avec l’alcool….

- Si je n’étais pas passé par la case « groupe de parole », j’aurais certainement reconsommer de l’alcool !

- Il faut « s’égocentrer », penser à soi !

- Je pratique l’autocongratulation….

- Penser à ne faire qu’une chose à la fois…

- Je sais que je suis dépendant que si j’y retouche je repars là-dedans….

- Une pulsion d’alcool va passer au bout de trente minut.

- Ne garder aucun produit alcoolisé à la maison, surtout au début de la période sans alcool parce que l’on est trop fragile la première année.

- Je me faisais envahir par les autres car je ne savais pas correctement m’occuper de moi !

- Je reste d’une prudence totale face aux autres.

- J’ai appris à dire « non » et c’est vachement dur !

- J’ai besoin de dormir et de ne pas avoir de stress !

- Je m’occupe de moi et comme ça je me protège…

Mettre à distance les personnes que l’on perçoit comme nocives.