Comment gérer ses proches dans le déni?

Comment gérer ses proches et/ou ses connaissances qui consommeraient tous les jours, tout en étant dans le déni de leurs problèmes ?

Comment gérer les autres consommateurs ( d’alcool, tabac, cannabis, cocaïne, crack, amphétamines etc…) quand on a décroché d’un produit (pour des raisons qui nous sont personnelles) avec comme principal objectif de ne jamais reprendre la moindre consommation ?

Je suis gêné par ma femme qui fume et qui en souffre mais qui ne veut pas reconnaître son addiction. Néanmoins depuis que je suis abstinent elle a diminué sa consommation.

J’ai fait une rechute au printemps et j’ai fait un séjour à la clinique pendant 5 mois. Je suis sorti il y a 2 semaines et je vais très bien.

C’est toujours compliqué d’être en contact avec des consommateurs !

Ça peut même aider de les voir comme ça.

Certains sont dans une situation de déni, est-ce que l’on peut changer ça ? Le risque est qu’ils se braquent !

Les différents stades du changement comportemental :

Stade 1 : « pré-contemplation » = USAGER HEUREUX (exemple du fumeur heureux)

Stade 2 : « contemplation » = USAGER MALHEUREUX ( exemple du fumeur inquiet qui commence à se poser des questions)

Stade 3 : « préparation de l’action »= PREPARATION D’UN SEVRAGE ( fumeur en démarche).

Stade 4 : « Action » = SEVRAGE.

Stade 5 :« Consolidation »= EFFORT DE MAINTIEN DANS LA NON-CONSOMMATION.

Stade 6 : « Epanouissement » = ABSTINENT HEUREUX

Si rechute : on recommence au stade 2

Circonstance d’une rechute :

• Une émotion négative (colère, frustration, événement dévalorisant).

• Une émotion positive ( événement heureux).

• Nostalgie des effets et/ou du goût du produit.

• Oubli progressif de sa propre vulnérabilité.

• Influençabilité.

• Surestimation de ses propres forces.

• Affronté trop tôt à des situations à risques.

FIN