Se libérer du tabac : pourquoi, quand, comment et avec qui ?

12 Décembre 2014

Se libérer du tabac : pourquoi, quand, comment et avec qui ?

Et sujet libre…

« Moi j’avoue franchement que la seule chose qui m’empêche d’arrêter le tabac c’est la crainte de prendre du poids ! C’est un problème psychologique… ».

« Deux personnes sur trois vont prendre du poids (à 3 Kgs) mais

cela n’arrive pas si l’on met en place un programme diététique… »

« Moi j’ai arrêté pendant quelques temps la cigarette et je n’ai pas pris 1 Kg ! ».

« Le tabac agit comme un coupe faim. J’ai arrêté avec un programme alimentaire de 5 jours à base de pomme… ».

« Il y a une dizaine d’années j’ai arrêté de fumer et il me semble que c’est alors que je suis tombé dans l’alcool… ».

« Moi, maintenant c’est le cannabis que je voudrai arrêter à cause des contrôles routiers de plus en plus fréquents, j’ai pris rendez-vous chez le docteur… ».

« La THP se fixe sur les molécules du cerveau et reste détectable plusieurs jours après le prise ! »

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« Tout va très bien pour moi : je suis abstinent depuis un an et demi après un sevrage en hôpital et 3 semaines en maison de repos… ».

« Pour les fêtes à venir je n’ai pas de conseils à donner car, personnellement dès ma sortie de clinique je me suis volontairement confronté à l’alcool dans des soirées et cela ne m’a rien fait ! ».

« Ca va à peu près, j’arrive à rester calme devant les problèmes, du moins j’essaye… ».

« Ca va mieux que la semaine dernière car j’ai fait un gros travail sur moi ! ».

« J’ai gardé de bons rapports avec les gens avec lesquels j’ai fait ma postcure… ».

« J’ai passé le cap des 1500 jours, au bout de tout ce temps, il m’arrive encore de faire des rêves d’alcool ! ».

« J’ai fait mon sevrage de 7 jours à l’hôpital puis je suis rentrée chez moi

Avec des rendez-vous chez le psy et le médecin. J’avais choisi de ne pas partir tout de suite en postcure car j’avais beaucoup d’affaires à régler chez moi ! Au bout d’environ 3 semaines comme je n’arrivais pas à gérer mon quotidien, je suis finalement entrée à Nègrepelisse . Donc j’ai tiré le meilleur parti de ma postcure.

Ce que j’ai surtout apprécié là bas c’est qu’ils vous donnent de multiples outils que chacun peut adapter à ses besoins propres ! Je dirai « ils permettent d’apprendre à pécher, ils ne vous donnent pas le poisson ! ».

« Ca fait 2 semaines que j’ai arrêté le cannabis, au début je n’ai pris que quelques médicaments pour le sommeil… ».

« Moi, ça fait un mois que je ne bois plus…J’avais déjà arrêté mais j’avais recommencé en consommant de la bière sans alcool, puis de la bière avec et ainsi de suite.

Le groupe de parole m’a apporté la confiance et cette fois je n’ai pas attendu pour prendre rendez-vous avec le Docteur Brette ! ».

« Je n’ai pas d’alcool chez moi car cela ne plairait pas beaucoup ni à ma femme ni à mes enfants ! ».

« Moi, j’ai rechuté il y a 2 jours après 3 semaines à Nègrepelisse… ».

« Personnellement j’ai dérapé suite à un grand malheur survenu dans ma famille. J’ai continué à travailler mais ce n’était pas ça, ça allait de plus en plus mal ! Un jour ma surveillante m’a convoquée pour me dire que je sentais l’alcool… J’ai eu très peur de perdre mon travail et j’ai décidé de me sevrer. Aujourd’hui, j’ai tout reconstruit et ça va ! ».

« Je suis nouvelle dans le groupe et dans la région. Je n’ai pas effectué de sevrage mais j’ai suivi le programme de rétablissement des Alcooliques Anonymes et ça a marché. Mais en ce moment après plein d’évènements familiaux j’ai été poussée à recommencer ! Je voulais demander si le jeûne est un outil de guérison ? ».

« Je vais très bien depuis un peu plus de 2 mois. J’ai, de temps en temps, de petites envies mais j’arrive à gérer. ».

« Je suis abstinent depuis presque deux semaines mais c’est dur ! Par contre j’ai une trouille monstre de la rechute donc je ne sors pas de chez moi… ».

« J’ai rechuté et c’est la première fois que j’ai décidé d’aller faire une postcure à Nègrepelisse ! ».

« Tout va très bien. Moi j’ai de l’alcool à la maison, je n’ai pas du tout changé mon mode de vie mais j’avais prévenu tous mes amis que je ne buvais plus et qu’ils ne devaient pas m’embêter avec ça.

Quand j’ai des amis qui viennent à la maison je peux servir de l’alcool cela m’est égal ! ».

« Je buvais depuis longtemps et je me suis arrêtée avec un sevrage de 7 jours à l’hôpital. De retour chez moi j’ai mis en place un suivi psy. régulier que je poursuis encore aujourd’hui, j’ai assisté régulièrement aux réunions du groupe de parole, j’ai participé à un forum d’entraide pour malades alcooliques et je me suis inscrite à des cours de yoga ! Tout va très bien pour moi aujourd’hui, j’ai de l’alcool à la maison, quand il y a des repas je peux servir du vin ou l’apéritif cela ne me dérange pas ! »

« Je m’accroche tous les jours pour ne pas retomber dans les Benzos mais c’est dur ! ».

« L’important est de prendre conscience que c’est une maladie et d’être solidaire ! ».

Fin