Face à l’exposition aux rayonnements électromagnétiques de la téléphonie
mobile, il y a entre nous une très grande inégalité, certains
ressentant les effets de ces ondes beaucoup plus rapidement et plus
violemment que d’autres. Au bout de la chaîne de ces inégalités, on
trouve les électrosensibles, c’est-à-dire ceux qui ressentent les effets
d’une exposition y compris à de très faibles valeurs de champ. La plus
connue de ces électrosensibles est, sans aucun doute Madame Grö Harlem
Bruntland, ancienne directrice générale de l’OMS. Alors qu’elle
dirigeait l’organisation internationale, elle s’est rendue compte
qu’elle était sensible aux ondes émises par les téléphones portables de
ses collaborateurs. Quelques test en double aveugle plus tard, elle
concluait à son hypersensibilité. Considérée comme un handicap en Suède,
et bénéficiant donc de toutes les aides qui y sont associées,
l’électrosensibilité est peu reconnue ailleurs laissant de trop
nombreuses personnes souffrir intensément au quotidien. Cliquer ici pour accéder au site priartem Une association dirigée par le professeur Belpomme : l'ARTAC qui étudie également l'électrosensibilité. |