Language of Study: French
Subject major: Ecology and Evolutionary Biology, Environmental and Sustainability Studies
Country of Study: France
Host University: Université de Bordeaux
Title of Work: Leaf Water Potential in Relation to Drought Stress
Abstract:
Leaf water potential is an important indicator in trees to assess health and drought resistance. Pressure in the xylem is created when tree roots draw in water, which then escapes through the stomata. Trees that are more drought resistant are able to maintain higher levels of pressure within the xylem and maintain water retention within necessary components of the tree. Desertification is a large effect of climate change that is rapidly spreading. Drought resistant tree variants or specific phenotypic advantages will prove useful as we grapple with the effects of climate change. I analyzed various species of trees and calculated their leaf water potential through graphing pressure-volume curves. The goal of this study is to analyze different species of tree and gauge the drought resistance of each to help predict what lasting effects of climate change may have on the environment, especially worldwide forest composition. As well as this study, I will be discussing language acquisition and cultural comparison to include my experience abroad.
Title of Work (IGP Language): Le potentiel hydrique foliaire en relation au stress de la sécheresse
Abstract (IGP Language):
Le potentiel hydrique foliaire est un important indicateur sur les arbres à évaluer la santé et la résistance de la sécheresse. La pression dans le xylème était cru quand les racines des arbres prennent l’eau, laquelle échappe vers le stomate. Les arbres qui sont les plus résistants à la sécheresse peuvent maintenir la pression forte dans les xylèmes et sont meilleurs à conserver d’eau dans les composants nécessaires de l’arbre. La désertification est un grand effet du changement climatique qui se propage rapidement. Les variants des arbres résistants de la sécheresse ou les avantages phénotypiques prouveront utile quand l’humanité affronte avec les effets du changement climatique. J’analyse plusieurs espèces d'arbres et calcule leurs potentiel hydrique foliaire par grapher les courbes pressions-volumes. Le but de cette recherche est d' analyser les espèces des arbres différents et évaluer la résistance de sécheresse de chacun à aider à prévoir quels impacts durables de changement climatique auraient sur l’environnement, surtout la composition des forêts mondiales. Ainsi que mon stage, je parlerai de l'acquisition de langue et la comparaison culturel à inclure mon expérience à l’étranger.
Elevator Pitch Transcript:
Bonjour tout le monde, that means “hello everyone” in French. My name is Sophie Wood and I am a 5th year student at NAU who is currently studying abroad at the Université de Bordeaux in Bordeaux France. I am majoring in Environmental and Sustainability Studies, Ecology and Evolutionary Biology and French with a minor in Regional Geographic Studies. I am also pursuing an undergraduate degree from the Universite de Bordeaux called a “Licence de Science de Vie” which is the biology equivalent through the IBDD program.
Bordeaux is an amazing city and I love all the architecture here and wandering around the streets and exploring. Known as the Wine capital of the world, we are home to a wine museum and are surrounded by vineyards. There are five famous vineyards around Bordeaux that all make different types of wine. Bordeaux is also interesting because almost 40% of the city is designated as a UNESCO world heritage site. Bordeaux is also home to the tallest cathedral in Southern France, la Basilique de Saint-Michel.
I am currently in an internship on the Universite de Bordeaux campus under Biogeco. My current project is studying the leaf water potential of various species of trees in order to examine the effects of drought and how tree composition in forests around the world may change with climate change. Leaf water potential is a good indicator of drought resistance. Trees are required to maintain pressure in their xylem in order to distribute water to all of its parts. If there is not much water in the soil, trees will require more pressure in order to lift water from the ground and the leaves will be under more pressure as the tree resists releasing more water. Leaves that can withstand higher turgor pressure are more drought resistant.
We receive samples from all over the world and I analyze the water potential of each species by putting them under pressure and observing the changes in the xylem. I am currently working on laurel trees, they are common around Bordeaux so I’ve been collecting samples from around the area of campus and taking them back to the lab to analyze. Thank you for listening to my elevator pitch and I hope to see you all at the summit!
Full-Length Video Transcript:
Bonjour tout le monde! Comme j’ai dit dans l’autre vidéo, je m’appelle Sophie Wood. Je suis une étudiante qui étudie à l’etranger pour la dernière année à l’Université de Bordeaux à Bordeaux, France. Je vais vous présenter mon projet, Le Potentiel Hydrique Foliaire en Relation au Stress de Sécheresse et aussi mes analyses de mon temps à l’etranger.
Donc, à NAU, j’étudie les études de l’environnement et la durabilité, l’écologie et la biologie évolutionnaire, et le français. À l’UBx, je suis des cours de L3 en biologie pour recevoir une licence de science de vie, et je suis une étudiante d'échange pendant l'année universitaire 2021-2022.
Actuellement, je suis des cours et fais de recherche dans un stage avec l’entreprise Biogeco, qui collabore avec l’UBx. Dans ce stage j'observe, analyse, et trace le potentiel hydrique foliaire, que je vais expliquer plus en détail bientôt. La directrice de ma recherche s’appelle Annabel Porté et j’assiste une étudiante de master, Camille Parise.
Alors, maintenant j’explique quelques mots de ma recherche. Les xylèmes sont les veines d’un arbre. Ils sont essentiels au processus de photosynthèse parce qu’ils transportent de l'eau aux feuilles. Les stomates sont les petits trous sur la côté ventral des feuilles qui régulent le flux d’eau. Le flux osmotique est la mesure de l’eau qui voyage vers une membrane semi-perméable. Il travaille avec la pression turgor. Elle est la pression créait quand les fluides dans les cellules poussent contre les murs de cellules. Avec une pression turgor plus haute, il y a moins d’eau dans l’arbre donc plus de pression est nécessaire à maintenir le même flux osmotique et continue la fonction de photosynthèse. Le potentiel hydrique est très très important, c'est le focus de ma recherche. Du coup, le potentiel hydrique foliaire est combien d’eau les xylèmes dans un arbre tiennent sous la pression.
Images: J’étudie les xylèmes dans les pétioles des feuilles.
Les arbres montent d’eau aux feuilles avec un vide entre les racines et les feuilles. L’eau est absorbée par les racines et après transpire vers les stomates ouverts, ce système crée un vide. La mesure de la pression est le potentiel hydrique foliaire. C’est un bon indicateur de la santé d’arbre parce que quand un arbre est stressé, les stomates vont fermer et la pression turgor dans les feuilles va augmenter. Un arbre sera plus résistant à la sécheresse s' il peut maintenir un haut niveau de pression. Cette information est bonne pour évaluer les forêts basé sur leurs compositions en face du changement climatique. Je focus surtout sur les arbres urbains parce qu’ils sont déjà sous beaucoup de facteurs stressants et il y a une variété d'espèces différentes qui ont été plantées par la municipalité.
Pour mon stage, j’étudie beaucoup d’espèces. En ce moment, j’analyse les quercus, un genre de chaînes, laurus nobilis, qui est un laurier, et celtis australis, un micocoulier. Je vais analyser plus d’espèces mais à Bordeaux, beaucoup d' arbres n’avaient pas encore produit de feuilles. Ils vais produire des feuille au fin d'avril ou début de mai. Mon processus est très simple pour mesurer le potentiel hydrique foliaire, j’ utilise une bombe de pression. Au premier, je pèse la feuille et après mets une feuille dans la chambre de pression. Je monte la pression jusqu'à des bulles de l’air se forment et l’eau sort les xylèmes. Je note la mesure et après, je répète le processus et le continue que la feuille soit sèche. Je sais mes données dans excel et calcule le RWC ou “relative water content” des feuilles. Finalement, je trace les données et analyse les courbes.
On arrive à mes résultats en progrès. Donc mon stage va finir fin de juin et comme j’ai dit avant, il n’y a pas beaucoup de feuilles disponibles maintenant. Ici j’ai deux courbes de deux espèces différentes, une de genre Quercus et une de genre laurus. Le ligne vert est la pression turgor et le ligne noir est le potentiel hydrique foliaire dans l’etat de plein turgescence. Les deux sont franchement résistants à la sécheresse parce que la courbe est stable depuis longtemps jusqu’à ce que la feuille devienne très sèche.
Depuis que j'ai commencé mon séjour en France, l’impact du covid est pas mal. Mes cours sont encore en présence et il faut qu’on porte des masques dans les bâtiments et les transports publics. On a eu la passe sanitaire aussi, un qr code qui était nécessaire pour l'entrée aux bars, aux restaurants, le cinéma, et tous les événements publiques. Le qr code prouve que la personne est vaccinée, récupère de la covid dans les derniers 6 mois, ou avoir un test négatif. Cependant, les régulations ont été enlevées, depuis le 14 mars. Il n'est pas encore nécessaire de porter un masque dans les bâtiments, sauf l'hôpital et la transportation publique. Aussi il est plus facile quand un prof attrape la covid parce qu’il présente plutôt le cours sur zoom.
Mon expérience de la langue français en France est mélangée. Au début, c' était vraiment difficile à comprendre et j'étais nerveuse à parler. J'étais timide et je n’ai pas parlé beaucoup parce que j’ai pas compris tout la phrase. Mes cours d' automne améliorent mon écoute. On a eu des cours longs et on n'a pas eu trop de devoirs ou de projets. Ce semestre j’ai plus de projets et présentations. Je suis encore nerveuse à parler à quelqu’un quelquefois, mais j’ai plus de confiance en mes compétences linguistiques avec pratique. C’est difficile quelquefois au début à être très extravertie et faire des efforts pour se faire des amis, mais ces compétences sont indispensables. J’ai appris plus de langue quand j’ai parlé à mes amis, sortie aux fêtes, et aux événements. Dans mon laboratoire, il y a beaucoup d’anglais parce qu’il est très international. J’ai des collègues qui parlent juste anglais ou juste français, ou un autre langue et anglais mais pas français. Ma directrice parle français, anglais, et espagnol, donc quand je ne comprends pas une technique ou un processus, elle va l’expliquer en anglais.
J’ai dit qu'au début, il est difficile de comprendre le français. Les négations en français mettent avant et après le verbe mais quand on parle, le début de la négation tombe. Donc “Je ne sais pas” devient “J’sais pas”. Les pronoms mettent avant le verbe et après le sujet, contrairement à l’anglais, où le pronom met après le verbe. La prononciation de “r” est difficile pour les anglophones parce que le son de “r” est faire dans la gorge. Mais aussi le “r” a deux sons, un sans la vibration dans la gorge et l’autre avec. On peut entendre la différence entre les deux avec les mots “Bordeaux” et “Paris”. Beaucoup de mots sont homophones donc le contexte de la phrase est très important mais c’est difficile d’entendre le contexte quand les Français parlent très rapidement! Les autres aspects du français sont le verlan et l’argot. Les deux seulement utilisent pendant parler. Verlan est quand le mot est l’inverti donc la femme change à la meuf et merci change à cimer. Je n’'entend pas beaucoup de verlan mais c’est encore un élément important de la langue. J’ai listé quelques mots de l’argot que j’utilise. “Chouette” est la même de "génial" ou “fantastique”. “Je suis chaud” signifie que j'ai hâte. Et “le truc” est très commun, il signifie “le chose”.
En France, surtout à Bordeaux, j’ai noté une influence de l’Afrique du Nord parce que la France a beaucoup d’immigrants de l'Afrique du nord. Ça fait logique parce que beaucoup de pays au nord d’Afrique ont été colonisés par la France. Beaucoup d'étudiants viennent des pays en Afrique et la deuxième langue que j’entends au centre ville la plus est l’arabe. Au centre ville, il y a beaucoup de restaurants qui servent les naan tacos et kebab, un mélange des cultures arab et française. La fac aussi a une culture internationale, Bordeaux a une grande population des étudiants internationaux, qui viennent d’Afrique du nord mais aussi vers le programme ERASMUS, un échange entre les pays dans l’union européenne. Je trouve qu’il est plus facile de me faire des amis avec les internationaux parce qu’ils comprennent les difficultés du système français et je peux parler à eux en anglais ou en français.
La culture de France n'est pas trop different que les États-Unis mais il y a assez de différences pour avoir une expérience différente. Le mode est plus formel et conformatif. Tout le monde a beaucoup de manteaux pour les petits changements du méteo. Le short n’est pas populaire en France aussi. Les stickers sur les ordis ou les bouteilles d’eau existent rarement ici et tout le monde habille typiquement dans les colours blanc, noir, et marron.
Dans la vie quotidienne, la boulangerie est très importante, et la culture de la nourriture est comme un art. Les boulangeries étaient des entreprises qui restaient ouvertes pendant les confinements. Mes amis français disent que leurs familles achètent et mangent une baguette chaque jour. Les grèves sont très importantes pour les Français mais pour moi, ils sont plus énervés parce que souvent, ils interrompent les trams, qui sont ma première transportation. Il y a un petit combat entre le nord du France et le sud pour qu’est-ce qu’on parle une pâtisserie avec du chocolat. Aux Etats-unis, on l’appelle un “chocolate croissant” mais c’est une grande erreur. Au nord du France, on l’appelle “un pain au chocolat” et au sud, on l’appelle “une chocolatine” les deux régions serait énervée si vous l'appelez par le nom incorrect.
L’emploi du temps est aussi très important pour les français. Les horaires pour la semaine de travail sont strictes, juste 35 heures par semaine. On doit traiter les déjeuners avec sérieux, si j'essaye de travailler un peu dans mon déjeuner, ma directrice dira “Pourquoi es-tu ici? Il faut que tu manges, c’est midi” et me conduira à la salle de repose.
Pour moi, je pense que mon temps à l’etranger est un succès. Je l’ai fait par être inclue, je me suis inscrite dans beaucoup de chats de whatsapp pour retrouver des nouveaux gens. Je suis très sociable donc je ne manque pas d'opportunités. Je passe les temps avec les Français et les internationaux et forme une bonne perspective du monde. Mon cours de français est un bon endroit pour me faire des amis. Je trouve des gens qui partagent mes intérêts, donc j’ai rejoint une équipe de foot parce que j’aime le sport. On a un match chaque dimanche. Et une fois par mois, il y a un événement qui s'appelle BlaBla Échange, ou un groupe d'étudiants pratique d’autres langues et aident les autres.
En général, j'améliore ma compétence en français avec la pratique toute la journée. J’ai plus de confiance en moi et une plus grande adaptabilité dans les situations difficiles ou nouvelles. J’augmente ma connaissance des cultures avec chaque nouvelle personne je retrouve et gagne une bonne expérience laboratoire ou j’apprends des techniques et méthodes utiles pour ma futur carrière. Et finalement, j'augmente mon amour de voyager et ma curiosité du monde donc j’aurais toujours des buts pour ma vie.
Subject major Q&A Session: https://nau.zoom.us/j/81836278554?pwd=ZkRibnRuV21xOStwVGdMQldsOFNvQT09
Password: SUMMIT
Language Q&A Session: https://nau.zoom.us/j/89001383047?pwd=SE1PblhLOURDT2pKL0Vlc25EcHkyUT099
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