Sans restriction, dans le fatras de son petit atelier du Mans, sa bulle libératoire, Jacques Fouquet s’aventure depuis deux ans en toute liberté et avec une envie irrépressible dans l’acte de peindre...
Comme une urgence à peindre après de nombreuses années vierges de toutes productions.
Sa palette, restreinte, se débride au gré de touches superposées de couleurs à l‘huile et de l’usage de la matière pour renforcer l’expression souvent mystérieuse de ses personnages - essentiellement des femmes - empreints d’une douce mélancolie, dans une mise en scène minimaliste à l’appui de formats le plus souvent carrés.
Autodidacte, affranchi de toutes considérations académiques, Jacques Fouquet ne s’interdit rien, sans autre prétention que de prendre du plaisir et de le faire partager, selon le précepte de Goethe qui, en théoricien de l’art (1749 – 1832), affirmait que « l’art et le vin servent au rapprochement des hommes ».
Entrer dans l'univers pictural de Jacques Fouquet peut donner matière à l'étonnement... S'il réjouit ou déplaît, souvent il intrigue. Sa palette, restreinte, s'élargit au gré des mélanges subtils des couleurs à l'huile et de l'usage de la matière pour renforcer l'expression mystérieuse de ses personnages, essentiellement des femmes, dans une mise en scène minimaliste à m'appui de formats le plus souvent carrés, laissant parfois deviner des espaces par lesquels le regard peut s'enfuir pour mieux revenir au sujet.
Considérant que le plaisir, justement et l'émotion, sont les valeurs essentielles de l'art, il fait sien les propos d'André Gide : "En art, il n'y a pas de sérieux qui tienne ; le plaisir est le plus sûr des guides."
C'est ainsi qu'il nous invite à découvrir ses oeuvres...