Les formes qu’elle nous propose résultent de la juxtaposition d’une infinité de petits traits, drus comme une pluie fine, mais comme dirigés par des champs magnétiques invisibles et contradictoires qui orientent le sens de sa chute, générant des formes ondulantes, des vagues superposées ou des drapés improbables dont les limites sont floues, indécises, bien qu’indiscutables. Le trait, réduit à son strict minimum se mue donc en surface, puis en volume […] texte Louis Doucet