Le marketing de votre musée ou de votre site historique Par Janet Clouston, Albert County Historical Society, Museum and RB Bennett Centre
14 Fevriér 2020 C’est un temps excitant pour le monde du patrimoine et de la culture. Il y a bon nombre de raisons pour lesquelles c’est le cas et la démographie joue certainement un grand rôle. Les baby-boomers prennent leur retraite et ont amplement de temps pour voyager. Ils ont un désir de rester actifs intellectuellement et ils aiment apprendre de façon perpétuelle. Il n’y a pas de meilleur endroit pour stimuler l’esprit que dans un musée ou un lieu historique! Avec cette démographie, il y a des tendances qui peuvent aussi faire grandir le nombre de visiteurs dans nos musées, par exemple un intérêt accru dans l’histoire de famille et de la généalogie à travers des sites Web, comme ancestry.ca. Il existe aussi une tendance vers le produit touristique expérientiel où les visiteurs veulent se sentir comme s’ils font partie de l’endroit qu’ils visitent et veulent ressentir une appartenance à l’histoire. Nous sommes bien placés pour offrir ceci. Enfin, une tendance qui est très excitante pour des gens du marketing comme moi-même, c’est l’aspect « fort contenu technologique/fort contenu humain ». Lire plus.... ![]() Par Bill Clarke, Musée régional du
Restigouche
22 janvier 2020
J’ai donc fait une exception et je leur ai donné une visite du tribunal et de quelques cellules. Je leur ai montré où les dernières pendaisons au Nouveau-Brunswick avaient eu lieu. Nous avons parlé des similitudes et des différences de la conception de tels édifices. Lire plus.... La place de l’histoire orale dans la recherche historique Par Evelyn Fidler, Village historique de Kings Landing
13 décembre 2019
Ces récits peuvent être une excellente ressource lors d’une recherche sur un sujet historique. Souvent, c’est le seul rapport d’un événement qui s’est produit dans le passé. On doit évaluer la fiabilité d’une source d’histoire orale comme on le ferait avec n’importe quelle autre preuve historique. Les récits d’histoire orale sont concrets et immédiats, mais nous ne pouvons pas simplement les prendre au mot. Même si quelqu’un dit que c’est la vérité, cela n’est pas toujours le cas, et même si quelqu’un était présent, cela ne veut pas dire que cette personne a réellement compris ce qui s’est passé.
Par exemple, en 1960, John F. Kennedy a été élu président avec seulement 49,7 pour cent du vote. Après son assassinat, plus de deux tiers des Américains se souvenaient d’avoir voté pour lui. Voilà un exemple des faits contre la mémoire. Lire plus...
![]() Par : Thomas G. Daley et Shawn J. McCarthy, Ph. D.,
Les Amis de l’île Beaubears
On soutient que les expériences interactives et avec des personnages sont l’avenir des musées et des sites patrimoniaux du Nouveau-Brunswick. Bien qu’une reconstitution costumée ne puisse jamais avoir la même valeur qu’un artefact ou remplacer une propriété historique, elle peut certainement en être une valeur ajoutée en ajoutant un aspect vivant à l’histoire.
La suite est une brève description du processus de mise en œuvre d’un personnage interactif.
Au début, on peut parfois penser qu’ajouter un personnage est une solution qui permettra de résoudre des problèmes et de créer de nouvelles possibilités intéressantes. Bien que ce soit possible avec beaucoup de travail, il est mieux de considérer l’ajout d’un personnage comme important, mais non essentiel, à l’expérience des visiteurs. Lorsque l’on tente de décider comment un personnage pourrait s’ajouter à notre environnement, il vaudrait mieux consulter les stratégies et plans d’interprétation, même informels, afin de voir où il y a des écarts dans le récit ou dans les histoires qui pourraient être comblés par un narrateur à la première personne. Lire plus...
Par Kellie Blue-McQuade, Directrice générale,
Association Patrimoine Nouveau-Brunswick
Si vous pensez que les musées ne sont que de vieux édifices avec des vieux objets qui accumulent la poussière, il est très probablement que vous n’avez pas visité un musée dernièrement. De nos jours, les musées sont vivants; ce sont des centres pour l’avancement, l’éducation, le mieux-être et la fierté communautaire. Ce sont des endroits où les gens peuvent apprendre sur des sujets qui les intéressent.
La classification ou le terme « musée communautaire » est logique, puisque l’un dépend de l’autre. Les musées d’aujourd’hui ne peuvent pas réussir sans engagement communautaire. Il est plus facile pour un musée de connaître du succès lorsqu’ils sont attentifs aux besoins de leur communauté et créent des liens positifs et des partenariats avec leur communauté.
Monsieur Bruce D. Thibodeau, Ph. D., originaire de Grand-Sault au Nouveau-Brunswick, est le président de Consultants canadiens en arts. Au printemps dernier, il a présenté à la conférence de l’Association des musées canadiens à Toronto sur la nécessité d’impliquer la communauté pour créer un plan stratégique efficace. Lire plus...
D’anciennes églises, de nouvelles vocations
Par Lee Sochasky, membre du conseil de l'APNB
Les églises historiques du Nouveau-Brunswick dressent un portrait unique du passé et du futur de notre province.
Nos premières églises ont été fondées sur des concepts sociaux et économiques qui ont grandement changé après la Seconde Guerre mondiale – et qui changement maintenant à un rythme accéléré – et un nombre croissant d’églises ont été abandonnées ou démolies puisqu’elles n’ont pas continué d’évoluer avec le temps. Ces édifices sont une partie importante de notre patrimoine national. Le fait qu’ils disparaissent de plus en plus a mené à une initiative de la Fiducie nationale du Canada pour tenter d’en sauver davantage : https://regenerationworks.ca/fr/lieux-de-culte/.
Est-ce que nos églises historiques peuvent se trouver une nouvelle vocation dans la société d’aujourd’hui, en perpétuelle évolution? Oui! Il faut simplement trouver des solutions locales et créatives et des concepts datant de plusieurs siècles.
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La préservation des ponts couverts du Nouveau‑Brunswick
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