« Nous avons vécu, génération légère,Dans des maisons que l'on disait indestructibles (Ainsi nous avons élevé les longs buildings de l'île Manhattan,Et ces minces antennes devisant dont s'amuse la merAtlantique).De ces villes restera ce qui passait à travers elles : le vent ! » Bertolt Brecht, 1920
« Puisque tout ce qu'on prend dans la main, c'est du vent,Puisque tout n'est que ruine, désespoir,Pense : ce qui est n'est pasEt ce qu'on dit n'être pas est là ! » Omar Khayyâm

Correspondance avec un Éditeur (novembre 2001)

Petit tri sélectif dans les poubelles de l'Histoire (avril 2003)

Après la fin de l'art, l'art de la fin (août 2003)

« y no hallé... » (été 2004)

La guerre du feu (novembre 2005) (PDF)

Alors qu’il est beaucoup question ces temps ci du travail de mémoire, il est bon d’exalter ici la mémoire de l’anti travail, au sens de Rimbaud : « Jamais nous ne travaillerons » ; de Marx : « Dès qu'il n'existe pas de contrainte physique ou autre, le travail est fui comme la peste. » (Manuscrits de 1844) ; et bien sûr de Debord, que l’on ne cite plus. Aussi l’histoire de la vie retrouvée retiendra surtout des Mokers leur rejet radical du travail, en négligeant tel ou tel détail un tantinet spartiate et bien daté de leurs moeurs. Voici donc Le Travail est un crime (Herman Schuurman, 1924) suivi de Le Groupe "De Moker" : la jeunesse rebelle dans le mouvement libertaire hollandais des années folles, par Els van Daele, août 2007. Ce texte a été initialement publié sur le site des Editions Antisociales (www.editionsantisociales.com) dans sa section archives, comme brochure au format pdf. Outre l'édition hollandaise, Els van Daele nous informe d'une traduction italienne et allemande. (décembre 2007) (PDF)